lundi, décembre 23, 2024

Sebastian Lelio, Hong Sang-soo, Ulrich Seidl en route pour le concours principal de San Sebastian Les plus populaires doivent être lus Inscrivez-vous aux newsletters Variety Plus de nos marques

«Wonder» de Sebastian Lelio, avec Florence Pugh de «Black Widow», «Winter Boy» avec Juliette Binoche et les réalisateurs Hong Sang-soo et Ulrich Seidl seront en compétition en septembre au Festival du film de San Sebastian, le plus grand événement cinématographique d’Espagne. monde parlant.

Dans « Wonder », le dernier-né du réalisateur primé aux Oscars Lelio (« Une femme fantastique »), Pugh joue une infirmière anglaise amenée dans les Midlands irlandais en 1862 pour observer le prétendu miracle des filles qui passent des mois sans nourriture.

Binoche co-vedette dans « Winter Boy », de l’auteur français résilient Christophe Honoré qui a remporté à Cannes Un Certain Regard avec « On a Magical Night » en 2019. Hong Sang-soo, le prolifique réalisateur sud-coréen, présentera « Walk Up », un film présenté comme un nouveau regard doucement ravissant sur des thèmes chers à sa poétique.

« Sparta » de Seidl fait partie d’un diptyque avec le candidat au concours de Berlin 2022 « Rimini », les deux films tournent autour d’hommes qui ne peuvent pas échapper à leur passé.

Les 12 titres de la compétition annoncés mardi par Saint-Sébastien rejoignent ses quatre prétendants espagnols, dévoilés le mois dernier.

Une brève ventilation des nouvelles entrées du concours:

Compétition principale de Saint-Sébastien : titres nouvellement annoncés

« Il Boemo », (Petr Václav, République tchèque, Italie, Slovaquie)

Les passions et les ambitions, la percée et la chute tragique du compositeur d’opéra tchèque Josef Mysliveček, un mentor pour Mozart. Czech Václav («Mondes parallèles», «Nous ne sommes jamais seuls») dirige.

« Pour toujours », (« Resten Af Livet », Frelle Petersen, Danemark)

Le deuxième long métrage du vainqueur du Grand Prix de Tokyo 2019 avec « Oncle », l’histoire d’une famille du centre paisible du Danemark soudainement confrontée à une tragédie apparemment insupportable.

« Great Yarmouth – Chiffres provisoires, » (Marco Martins, Portugal, France, Royaume-Uni)

Une vision fictive de la nouvelle vague d’immigration, matérialisée par la diaspora de travailleurs portugais dans les usines agroalimentaires et les parcs de caravanes d’un Great Yarmouth ravagé par le chômage. L’une, Tania, se bat désormais pour la nationalité britannique et un travail convenable à la veille du Brexit.

« Cent fleurs » (« Hyakka », Genki Kawamura, Japon)

Le premier long métrage de Genki Kawamura, producteur de « Your Name ». Alors que sa mère, atteinte de démence, glisse vers l’oubli, son fils Izumi découvre la vie qu’elle a vécue sans lui. Adaptation du propre roman du réalisateur, un drame fils-mère potentiellement intense.

« Les rois du monde » (« Los Reyes del Mundo », Laura Mora, Colombie)

La suite tant attendue par Mora de « Killing Jesus » de 2017, soutenue par la productrice-réalisatrice Cristina Gallegos (« Birds of Passage »), l’histoire fantastique de cinq enfants des rues de Medellín qui partent dans les montagnes pour trouver une terre promise

« Pornomélancolie » (« Pornomelancolia », Manuel Abramovich, Argentine)

Le dernier documentaire de l’Argentin Manuel Abramovich, lauréat de l’Ours d’argent de la Berlinale 2019 pour « Blue Boy », dépeint Lalo, un influenceur sexuel hors du commun vivant dans les montagnes du sud du Mexique.

« Coureur, » (Marian Mathias, États-Unis, Allemagne, France)

Le premier long métrage animé de Mathias, basé à Brooklyn, s’est développé lors d’une résidence de la Cinéfondation à Cannes en 2018 et a sondé la relation entre Hass et Will, des âmes perdues depuis longtemps dans le vaste Midwest américain.

« Sparte, » (Ulrich Seidl, Autriche)

Une pièce qui accompagne la participation de Seidl au Concours de Berlin « Rimini », avec George Friedrich dans le rôle d’Ewald, un homme qui prend un nouveau départ à Romina, mais reste rattrapé par son passé.

Sparte
Avec l’aimable autorisation du Festival du film de Saint-Sébastien

« Le substitut, » (« El Suplente », Diego Lerman, Argentine)

Présenté au Forum de coproduction de Saint-Sébastien 2019, où il a été considéré comme un mouvement potentiel vers le grand public pour Lerman (« Soudainement »), une figure de proue du nouveau cinéma argentin. Produit par Nicolás Avruj à Campo Cine, le drame teinté d’espoir se déroule au lycée dans la périphérie violente et marginalisée de Buenos Aires.

« Monter, » (« Top », Hong Sang-Soo, Corée du Sud)

Le deuxième long métrage en 2022 du réalisateur prolifique après le lauréat de l’Ours d’argent de Berlin « A Novelist’s Tale », et déjà sélectionné à Toronto. Un architecte d’intérieur présente étage par étage sa maison à un réalisateur d’âge moyen et à sa fille dont il est séparé.

« Garçon d’hiver » (Christophe Honoré, France)

Porté par Juliette Binoche et Vincent Lacoste (« The French Kissers »), le 14e long métrage du redoutable auteur français Honoré (« On a Magical Night ») tourne autour d’un lycéen en crise.

« L’émerveillement, » (Sebastian Lelio, Chili)

Mettant en vedette Florence Pugh, Ciarán Hinds, Niamh Algar et Tom Burke, la première production Netflix commandée au Royaume-Uni par Fiona Lamptey, un thriller psychologique se déroulant dans les Midlands irlandais en 1862 avec Pugh jouant une infirmière anglaise amenée pour observer le prétendu miracle de les filles passent des mois sans nourriture.

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Avec l’aimable autorisation du Festival du film de Saint-Sébastien

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