[ad_1]
Seabiscuit : une légende américaine est le premier ouvrage de la longueur d’un livre publié par Laura Hillenbrand. Alors qu’il souffrait d’une maladie débilitante, Hillenbrand a écrit de courts articles et des articles de fond pour divers magazines équestres avant d’être captivé par l’histoire de Seabiscuit et des hommes qui croyaient en lui. Elle a trouvé que son histoire était un triomphe sur l’adversité qui imitait sa situation personnelle à bien des égards. Bien que non romanesque, le livre pousse le lecteur vers l’avant en utilisant des éléments narratifs que l’on trouve plus couramment dans les romans de fiction, alors que des vies et des situations se croisent et divergent. La pléthore de détails témoigne des recherches approfondies d’Hillenbrand.
Le livre se déroule entre 1929 et 1940, une période au cours de laquelle le monde a radicalement changé. Aux États-Unis, un krach boursier a annoncé la Grande Dépression d’une décennie qui a plongé le pays dans le désespoir et le désespoir. Pendant ces jours sombres, les citoyens moyens s’accrochaient même à la plus petite diversion qui offrait de l’espoir ou une évasion de leur vie quotidienne. Un héros improbable – un cheval de course court, trapu et apparemment inapte – a offert une telle distraction, devenant un chouchou des médias et capturant l’imagination nationale. En fait, en 1938, alors que le mot vacillait au bord de la Seconde Guerre mondiale, la majorité de la couverture médiatique n’était pas consacrée aux politiciens ou aux bellicistes, mais à un cheval aux genoux noueux qui avait presque dépassé son apogée. Seabiscuit est devenu une icône culturelle, selon Hillenbrand, et a offert de l’espoir à une génération de personnes défavorisées : s’il pouvait surmonter l’adversité et devenir un gagnant, ils le pourraient aussi. De ses premières sorties dans la poussière de Tijuana à son match de rancune avec War Admiral, vainqueur de la triple couronne, Seabiscuit incarnait le rêve américain de la pauvreté à la richesse pour des millions de citoyens pauvres qui se demandaient si le rêve était encore possible.
Bien que le cheval soit devenu le centre de l’attention du public, c’est la convergence des hommes uniques qui ont contribué au succès de Seabiscuit qui a suscité l’intérêt des médias de l’époque, tout comme c’est le cas pour le livre de Hillenbrand. L’association improbable d’un magnat des affaires autodidacte, d’un dresseur de chevaux cow-boy taciturne et d’un jockey dégingandé et à moitié aveugle a complété le quatuor qui a conquis le cœur d’un public enthousiaste, ainsi que l’imagination de Hillenbrand.
[ad_2]
Source link -2