samedi, novembre 23, 2024

Se faire racheter est une stratégie légitime pour développer votre entreprise

Les bonnes entreprises obtiennent acheté pas vendu.

Ce dicton a été transmis comme sagesse conventionnelle à travers des générations d’entrepreneurs, mais il ne raconte pas toute l’histoire. Alors que l’introduction en bourse est caractérisée comme le summum pour les startups soutenues par du capital-risque, beaucoup plus d’entreprises voient des sorties réussies via un processus de fusion et acquisition qu’en devenant publiques. Être acheté par le meilleur acquéreur pour vous nécessite une planification réfléchie et, oui, une vente.

En tant qu’entrepreneur, vous avez probablement créé votre entreprise parce que vous vouliez avoir un impact important. Vous construisez quelque chose qui, selon vous, fera évoluer le monde dans une direction positive. Et oui, il y a aussi un résultat financier implicite là-bas. Les gens – peut-être vos investisseurs, les médias, votre équipe – se concentreront souvent sur la stratégie de sortie dans le contexte d’un résultat financier.

Tout investisseur ou mentor vous dira que lorsqu’une entreprise dit qu’elle veut vous acheter, la bonne réponse est : « Nous ne sommes pas à vendre ».

D’après mon expérience, de nombreux fondateurs sont plus motivés par le potentiel d’impact. Pour ces types de fondateurs, mon conseil est de toujours considérer l’acquisition comme une option. Ce n’est peut-être pas évident au début, mais une acquisition peut être votre meilleure voie vers une échelle massive.

Avant de devenir un investisseur en phase de démarrage chez DTC, j’ai dirigé le développement commercial et les fusions et acquisitions pour Microsoft en Europe et en Israël. J’étais de l’autre côté des négociations alors que Microsoft recherchait des équipes et des technologies innovantes à intégrer dans son giron. Les fondateurs qui ont pu capitaliser le plus sur le processus d’acquisition sont ceux qui l’avaient planifié dès le premier jour.

Planifier une acquisition potentielle n’est pas une attitude défaitiste

Les entreprises ont 10 fois plus de chances d’être vendues que d’être introduites en bourse.

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