mardi, novembre 19, 2024

Scream Review (Spoiler-Free): un buffet de slasher de service de fans dépourvu de peur

Sidney (Neve Campbell), Gale (Courteney Cox) et Dewey (David Arquette) aident les adolescents ciblés par Ghostface dans la relance de Scream.


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Via : Spyglass Divertissement

Le tueur de Ghostface revient dans un buffet d’autodérision et de service de fans d’une suite slasher qui manque cruellement de frayeurs. Cris la relance du vingt-cinquième anniversaire fera éclater de rire le public au lieu de se recroqueviller de terreur. La distribution originale revient en tant que joueurs de soutien à un nouveau groupe d’adolescents victimes smarmy. Le film se moque des tropes du genre horreur tout en se référant à la franchise « Stab », basée sur les meurtres de Woodsboro. L’approche ironique fonctionne jusqu’à un certain point avant de devenir carrément stupide. Scream satisfera la soif de sang avec des attaques au couteau graphiques et vicieuses.

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Dans le Woodsboro d’aujourd’hui, la populaire lycéenne Tara Carpenter (Jenna Ortega) reçoit un appel inquiétant alors qu’elle est seule à la maison. Elle s’échappe à peine avec sa vie après une rencontre avec Ghostface. La sœur de Tara, Sam (Melissa Barrera), et son petit ami, Richie (Jack Quaid), retournent immédiatement en ville. Sam constate rapidement que tout le monde dans le groupe d’amis de Tara a un lien avec les meurtres d’il y a un quart de siècle.

Le carnage recommence. Sam et Richie demandent de l’aide à un Dewey Riley (David Arquette) abattu. Il est d’abord réticent mais se rend compte qu’il y a quelque chose de différent chez le nouveau tueur. Il prévient l’ex-petite amie Gale Weathers (Courteney Cox) et la cible initiale, Sidney Prescott (Neve Campbell), qu’un nouveau Ghostface est né. Une bombe révélant le passé de Sam et Tara recadre l’enquête. Mais Ghostface les surpasse à chaque tournant tout en accumulant un décompte des corps. Sidney décide qu’il est temps de jouer l’offensive et de tuer Ghostface avant que d’autres innocents ne meurent.


Scream aime se moquer de lui-même et d’autres films d’horreur. Ghostface est un grand fan de la franchise « Stab » et utilise ses intrigues pour narguer les victimes. Le casting de soutien de la génération Z discute continuellement des classiques de l’horreur, des succès récents du genre et de ce qui n’a pas fonctionné avec les versements ratés de « Stab ». Le script de James Vanderbilt et Guy Busick obtient initialement des points de style pour l’intelligence. Puis traite la vache à sec avec des plaisanteries insensées incessantes. Les adolescents sont de soi-disant experts en horreur mais se comportent comme les agneaux habituels pour leur propre abattage.

Il n’y a pas une seconde du film qui soit effrayante. Les réalisateurs Matt Bettinelli-Olpin et Tyler Gillett simulent des scènes d’horreur classiques pour amener le public à la complaisance. Par exemple, la musique va monter en crescendo et puis rien ne se passe. Le but étant de vraiment surprendre lorsqu’un véritable meurtre frappe. La chicane ne fonctionne pas. Les meurtres sont évidents, sauf pour un cas. Encore une fois, les cinéastes réfléchissent trop à leurs tactiques.


Scream est à la hauteur de ses racines slasher. Ghostface embroche les malheureuses victimes comme un chef sushi. Les scènes de meurtre sont sanglantes comme l’enfer. Les personnages sont tranchés, poignardés et vidés de joie frénétique. Les tueries sont bien mises en scène. Ce n’est pas un film pour quelqu’un de vaguement dégoûté.

Le polar au centre de l’histoire ne nécessite pas de déduction de Sherlock Holmes. J’ai pu repérer facilement le coupable dès le premier acte. Ensuite, j’ai regardé les personnages gambader pendant encore une heure et demie. Ce n’est pas un tueur d’affaire s’il y a eu des frayeurs en cours de route. Les petits rires ne suffisent pas à justifier une recommandation. Scream relance la franchise avec une nouvelle héroïne. Ses films ont besoin de terreur et non d’esprit. Scream est une production de Spyglass Media Group. Il aura une sortie en salles exclusive le 14 janvier de Paramount Pictures.



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Adaptation de la série télévisée The Bayou Trilogy Lands de l’auteur Daniel Woodrell

Depuis les Winter’s Bone Ozarks, nous nous dirigeons vers le sud jusqu’aux bayous de Louisiane.

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