Elle admet que tout le monde ne peut pas payer, mais affirme qu’un partenariat gouvernemental pourrait les aider à offrir des lits vides aux personnes inscrites sur la liste d’attente publique. Elle a dit vouloir également ouvrir une unité de désintoxication, un service offert uniquement dans une poignée de centres à travers la province.
« Nous recevons tout le temps des appels téléphoniques de personnes qui cherchent à accéder à des lits et qui n’ont pas les fonds nécessaires pour le faire. Je pourrais avoir un lit vide à ce moment-là. C’est vraiment déchirant de refuser des gens à cause d’un manque de financement », a déclaré Hoffman.
La province a promis pour la première fois 150 nouvelles places pour toxicomanes dans le discours du Trône d’octobre 2021, indiquant qu’elles seraient en place d’ici 2024. Le gouvernement a invité des entreprises tierces à commencer à demander le financement la semaine dernière, affirmant qu’il était prévu que ces places ouvrent dans les « trois prochaines années ».
Un porte-parole du gouvernement a déclaré que Hindley n’était pas disponible pour commenter cette histoire, mais une déclaration non attribuée du ministère de la Santé indique qu’il s’attend à ce que les candidats retenus commencent à offrir des services six à 18 mois après la conclusion des accords définitifs.
Le ministre de la Santé mentale et des Dépendances, des Aînés et de la Santé rurale et éloignée de la Saskatchewan, Everett Hindley, prend la parole lors d’un événement médiatique à la St.Ann’s Senior Citizens’ Village Corporation à Saskatoon, Saskatchewan, Canada, le 25 mai 2022.
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La porte-parole du NPD de la Saskatchewan, Vicki Mowat, a déclaré que de tels espaces sont importants. Mais elle a demandé pourquoi le gouvernement s’appuyait uniquement sur des fournisseurs tiers. Elle a également demandé pourquoi la proposition est à l’échelle de la province, disant qu’elle espérait une répartition géographique appropriée des programmes là où ils sont le plus nécessaires.