Roush Review: Nostalgie, Suspense Fuel ‘Star Trek: la dernière saison de Picard

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Note de Matt :

C’est la vieille semaine de la maison, mais aussi l’aube prometteuse d’une nouvelle génération, car Star Trek : Picard réalise enfin son plein potentiel dans une troisième et vraisemblablement dernière saison palpitante. Dire que c’est ça randonnée fans – en particulier Star Trek : la nouvelle génération fidèles – attendent depuis longtemps est un euphémisme.

Un mystérieux signal de détresse du Dr Beverly Crusher (Gates McFadden) déclenche la première de nombreuses retrouvailles, alors que l’ancien acolyte William Riker (un drôle de Jonathan Frakes) se retrouve à nouveau associé à l’amiral Jean-Luc Picard (Patrick Stewart, toujours hérissé d’autorité ). Essayez de ne pas sourire quand Picard insiste : « Je ne peux pas vous demander de vous mettre en danger », et Riker réplique : « Depuis quand ?

En cours de route, Picard considérera la mortalité, un héritage familial surprenant et, comme toujours, le devoir tout en affrontant l’une des menaces les plus ignobles de l’histoire de Starfleet. Alors viens pour la nostalgie, comme clé GNT les personnages entrent dans l’histoire de manière souvent intrigante, y compris Worf (Michael Dorn), le modèle même d’un Klingon nouvellement zen, un Geordi La Forge hésitant (LeVar Burton) et, éventuellement, la dernière évolution du bien-aimé androïde Data (Brent Spiner), parmi d’autres connaissances bien choisies du passé. (Au moins un mérite d’être gardé une surprise.)

Les seuls reports (à travers les six premiers épisodes) de picardLes saisons précédentes de sont essentielles : Raffi (Michelle Hurd), l’ancien officier du renseignement instable, en mission perfide sous la supervision d’un gestionnaire invisible ; et Seven of Nine de Jeri Ryan, l’ancien Borg (et Star Trek : Voyager régulier) maintenant stationné à bord de l’ancien navire de Riker, Titandont le capitaine sarcastique Shaw (un Todd Stashwick hilarant) est loin d’être accueillant pour les chevaux de guerre vieillissants qui montent à bord sans révéler leur véritable programme.

« Nous n’allons pas faire exploser les choses », plaisante Shaw, peu impressionné par leur histoire héroïque. Mais tout le monde sait que cela signifie exactement le contraire, surtout une fois que Picard et Riker entrent en action, entrant sans autorisation dans une nébuleuse dangereuse où ils affrontent un méchant caquetant (Amanda Plummer, mâchant la machinerie, décor) à bord d’un navire prédateur géant nommé Pie-grièche.

Ainsi, alors que la perspective de revivre le bon vieux temps pourrait vous faire entrer, une cascade pleine de suspense de cliffhangers de premier ordre vous incitera à revenir. Nous qui avons suivi cet équipage depuis les années 1980 pouvons comprendre quand Riker s’en prend à Picard : « Tes mains sont raides, mes genoux me tuent. Tant que nous n’avons pas à bouger ou à tirer, ça devrait aller.

picard n’a jamais été en meilleure ou pire forme. Ne pensez même pas à manquer ce trajet.

Star Trek : PicardPremière de la saison 3, jeudi 16 février, Paramount+

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