Roush Review: Dionne Warwick est toujours à l’écoute dans « Don’t Make Me Over »

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Note de Matt :

« Est-ce que Dionne Warwick est une légende ? Est-ce du porc ? » De tous les nombreux témoignages de célébrités dans Ne me renverse pas (première le 1er janvier sur CNN), y compris un hommage touchant de feu Olivia Newton-John, le salut pudique de Snoop Dogg est peut-être le moins attendu.

Ailleurs dans ce documentaire biographique admiratif et passionnant, Snoop raconte la fois où Warwick lui a fait signe, ainsi que d’autres rappeurs, de les appeler et de les réprimander pour leurs paroles misogynes.

« Nous avons été gangsters ce jour-là », dit-il avec approbation.

Tout au long de sa carrière illustre de six décennies, montrée généreusement dans des séquences de performances vintage, Warwick n’a jamais retenu ses opinions ou sa passion pour la défense des droits civils et de la recherche sur le sida. (Son hymne de l’ère du sida « C’est à quoi servent les amis » a récolté des millions de redevances.)

Ne me renverse pas suit son ascension lente mais régulière du chant gospel dans son église familiale du New Jersey à la victoire de la soirée amateur d’Apollo en 1957, se mettant à l’université en chantant jusqu’à ce qu’elle exige finalement la reconnaissance du nom qu’elle méritait.

Sa rare capacité, en avance sur son temps dans les années 1960, à passer du R&B au sommet des charts pop avec ces classiques complexes de Bacharach-David (« I Say a Little Prayer », « Alfie ») a donné à Warwick une plate-forme pour promouvoir le changement social et des portes ouvertes à une nouvelle génération d’artistes noirs, dont sa cousine germaine Whitney Houston.

Même ainsi, l’industrie n’a pas toujours su où elle se situait et Warwick affiche fièrement une pochette de disque européenne affichant l’image d’une femme blanche.

« Je ne suis pas blanc. Je suis un brun tentant et taquin, d’accord ? » plaisante Warwick, qui a acquis une renommée internationale en tant qu’icône du style et de la musique.

« C’est la beauté de la musique : elle transcende la couleur », explique Warwick, qui, à 82 ans, incarne la description affectueuse de Smokey Robinson : « Toujours l’image de l’élégance ».

Dionne Warwick : Ne me refait pas, Avant-première du documentaire, dimanche 1er janvier 9/8c, CNN

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