« Ça me manque d’être ivre. Il y avait beaucoup moins de responsabilité », se lamente Samantha Fink (Sofia Black-D’Elia) lors de son neuvième jour de sobriété « très ennuyeux et misérable ». Telle est la vie pour un rétablissement Femme célibataire ivre, L’étude crue mais ironique de Freeform sur un personnage de 28 ans qui apprend à se définir par autre chose que sa consommation d’alcool. Personne n’a dit que ce serait facile – et alors qu’un « calculateur de sobriété » à l’écran marque les journées longues et souvent douloureuses, cette comédie dramatique de la créatrice Simone Finch et de la productrice exécutive Jenni Konner (Filles) trouve des éclairs d’humour et même des lueurs d’espoir dans le parcours difficile de Sam.
Lorsque nous rencontrons Sam pour la première fois, elle est une épave de train épuisée et épuisée, perdant son travail dans les médias new-yorkais à la mode dans une explosion publique embarrassante. Elle retourne rapidement, à contrecœur, à Boston pour vivre avec sa mère névrosée, Carol (une Ally Sheedy hargneuse et âpre – oui, cette Ally Sheedy !), dans un monde rempli de déclencheurs. Le mariage imminent de son ancien et endurant BFF Brit (Sasha Compère) avec son ex n’est pas le moindre. Lorsque ce couple amoureux trouve Sam en train de trancher de la viande (mal) à l’épicerie locale où elle a trouvé un emploi à contrecœur – un développement beaucoup plus crédible ici qu’il ne l’est sur Fox’s Pivotant– la gêne pousserait à peu près n’importe qui à boire.
Mais pas Sam. Pas encore. La première saison suit Sam, drôlement joué par Black-D’Elia avec un côté blessé mais insolent, au cours de sa première année d’une période probatoire difficile, souvent humiliante et parfois affirmative. Quand elle avoue à sa marraine épineuse (Rebecca Henderson) à 30 jours que « ça fait du bien et du mal en même temps », elle est assurée que ça marche.
Elle est souvent sa pire ennemie, forçant les confrontations lorsqu’elle commence à faire amende honorable avant qu’elle ne soit prête, poursuivant une relation avec un nouvel ami (Garrick Bernard) qui est plus avancé dans sa convalescence, et traînant dans les bars et les clubs avec sa mère célibataire outrageusement amusante. copine Felicia (Lili Mae Harrington, voleuse de scènes). D’une manière ou d’une autre, elle continue d’avancer, un jour agité à la fois, survivant même à sa première Saint-Patrick sans alcool, que son nouveau patron (un fougueux Jojo Brown) décrit intelligemment comme « La purge pour les personnes sobres.
Sam, comme ils chantaient autrefois à propos d’une héroïne de sitcom d’une époque plus ancienne et plus heureuse, réussira-t-il après tout? Je ne parierais pas contre elle. En fait, je vais boire dessus. Faire le mien du soda au gingembre.
Femme célibataire ivre, Première de la série, jeudi 20 janvier, 10/9c, Freeform