C’est comme La course fantastique pour l’ère victorienne. L’horloge tourne toujours dans une vieille école divertissante Chef-d’œuvre adaptation du classique de Jules Verne, Le tour du monde en quatre-vingts jours, suscitant un sentiment d’émerveillement quant au potentiel de mobilité technologique avant l’ère de l’avion et de l’automobile.
Les trains, cependant, jouent un grand rôle dans l’odyssée chimérique de 1872 du voyageur novice Phileas Fogg (David Tennant) pour faire le tour du monde dans une hâte jamais vue auparavant. Il en va de même pour les montgolfières, les bateaux et les chameaux. Et ce ne sont que les trois premiers (sur huit) épisodes.
Tennant, un favori polyvalent de Docteur Who et Broadchurch célébrité, gère bien la transition d’un budget rigide à la lèvre supérieure à un aventurier aux yeux fous, laissant échapper: « Je ne me suis jamais senti aussi vivant de ma vie! » après une expérience de mort imminente lors d’une révolution à Paris.
Fogg est en bonne compagnie avec son valet français mercuriel, Passepartout (Ibrahim Koma), et, nouveau dans l’histoire, une journaliste ambitieuse (Leonie Benesch) qui connaît une bonne histoire quand elle la voit.
Tourné en Afrique du Sud et en Roumanie, ce Autour du monde gambader pourrait être juste le ticket pour ceux dont l’envie de voyager a été réduite ces dernières années. Attachez-vous.
Autour du monde en 80 jours, Premières le dimanche 2 janvier 2022, 8/7c, PBS (consultez les listes locales sur pbs.org)