Revue de Trek à Yomi

Trek to Yomi samurai

Trek to Yomi copie le style des films emblématiques de samouraïs en noir et blanc d’Akira Kurosawa : des rizières soufflant dans le vent, des villages brûlant, un grand vortex noir tourbillonnant en enfer. D’accord, alors Trek to Yomi va à certains endroits où les films de Kurosawa ne sont pas allés. Mais le chemin y est jonché de pépins, et je ne l’ai suivi qu’à travers le combat capricieux et flottant pour voir où la descente de mon samouraï dans la folie le mènerait.

Dois savoir

Qu’est-ce que c’est? Un jeu à défilement latéral en 2D dans lequel vous assumez le rôle d’un samouraï vengeur.
Attendez-vous à payer : 19,99 $
Développeur: Porc sauvage volant
Éditeur: Dévoluer numérique
Revu le : Processeur Intel(R) Core(TM) i7-5600U à 2,60 GHz, 2,59 GHz
Multijoueur : Non
Lien: Vapeur (s’ouvre dans un nouvel onglet)

Après que sa ville ait été saccagée par des bandits, le protagoniste Hiroki doit décider s’il doit rester lié à son devoir, protéger ses proches ou chercher à se venger. C’est un truc de samouraï classique, mais l’histoire est bien racontée, car Hiroki fait face à ses démons personnels (également, des démons littéraux) et je dois prendre des décisions qui ont influencé exactement la fin de cette tragédie de samouraï. Tous les doubleurs japonais donnent des performances brutes, et l’acteur d’Hiroki en particulier parvient à transmettre sa spirale descendante dans la colère et le regret.

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