Un boxeur (Mark Wahlberg) aspire à être prêtre et renoue avec son père (Mel Gibson) dans Father Stu.
Un boxeur échoué trouve un but grâce à la religion alors que sa vie prend une tournure tragique. Père Stu est un puissant voyage de foi et de dévotion contre des obstacles insurmontables. Mark Wahlberg brille comme un homme qui se tenait debout quand son corps ne le pouvait pas. Notre temps sur Terre est éphémère. Pour certains, c’est cruel et injuste. L’histoire de Stuart Long nous rappelle que le courage de la conviction peut illuminer le cœur des opprimés.
Nous rencontrons pour la première fois Stuart Long (Tenz McCall) en tant qu’enfant fougueux à Helena, dans le Montana. Son père, Bill Long (Mel Gibson), boit pour atténuer la perte du frère de Stuart. Des décennies plus tard, Stu (Mark Wahlberg) essaie de devenir boxeur. Sa mère fatiguée, Kathleen (Jackie Weaver), le supplie d’arrêter de se battre. La plupart des hommes avaient abandonné depuis longtemps à l’âge de Stu.
Stu décide de tenter sa chance en tant qu’acteur à Hollywood. Il fait ses valises pour Tinseltown avec des rêves de célébrité. Bill Long était parti pour la Californie des années plus tôt après avoir abandonné sa famille. Stu trouve un emploi derrière le comptoir à viande d’un supermarché. Il est fasciné par la belle Carmen (Teresa Ruiz). C’est une catholique stricte qui n’apprécie pas les avances de Stu. Il visite son église dans une tentative maladroite de gagner sa faveur. Stu découvre la parole de Dieu. L’expérience amorce une transformation de son âme. La foi retrouvée de Stu est exaltante. Mais est bientôt testé de manière inattendue.
Une étude de personnage absorbante
Père Stu est une étude de personnage captivante. Stuart dégouline d’abord d’arrogance et de machisme. C’est un dur à cuire habitué à se frayer un chemin vers l’avant. Les efforts infructueux de Stu pour réussir en tant qu’acteur lui donnent un minimum d’humilité. Mais sa poursuite de Carmen ouvre une porte qui surprend tout le monde autour de lui. Personne ne croit à son réveil religieux. Stu doit gagner leur confiance en adhérant aux principes catholiques. Ses aspérités ébouriffent quelques plumes. Ces scènes sont assez drôles.
Le deuxième acte du film amplifie considérablement le drame. Stu fait face à un défi qui force la réconciliation avec son père. Bill Long est le plus grand sceptique quant à la conversion catholique de Stu. Il ne peut pas imaginer que Stu a trouvé quelque chose qui lui donne la paix. L’alcoolisme de Bill a servi de bouclier pour l’empêcher d’affronter la douleur. Il est énervé par la grâce et le pardon de Stu; les vrais principes des enseignements chrétiens. Bill doit devenir un père attentionné et enterrer ses échecs passés. Mark Wahlberg et Mel Gibson ancrent le film avec cette relation charnière. La leçon est que les blessures guérissent. Les péchés peuvent être absous. La confiance d’un homme dans les Écritures libère son père de la culpabilité.
Le catholicisme conduit le récit
Père Stu peut être défini comme un film confessionnel. Le catholicisme dirige le récit. Stu aspire à être prêtre. Mais le film ne vous bat pas avec la religion comme une nonne stricte. Bill et Stu Long sont des ivrognes grossiers qui changent de galons. La réalisatrice/scénariste Rosalind Ross, fantastique dans son premier long métrage, prêche le salut dans l’évangile sans condamnation ni jugement des non-croyants. Je peux regarder Père Stu en tant qu’athée, appréciez ses thèmes sains et ressentez de l’empathie pour les personnages.
Père Stu est une production de Columbia Pictures, Municipal Pictures et CJ Entertainment. Il aura une sortie en salles le 13 avril de Sony Pictures.
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