[ad_1]
La version suivante de cette histoire a été utilisée pour créer ce guide : Alexie, Sherman. « Propre, plus propre, plus propre. » Le new yorker. https://www.newyorker.com/magazine/2017/06/05/clean-cleaner-cleanest.
Notez que toutes les citations entre parenthèses renvoient au numéro de page sur lequel la citation apparaît.
« Clean, Cleaner, Cleanest » commence par le narrateur annonçant que Marie n’était plus dérangée par l’attirail sexuel que les clients de son motel laissaient dans leurs chambres. Elle était beaucoup plus préoccupée, explique le narrateur, par les aiguilles hypodermiques causées par la consommation de drogue des invités. Elle avait été coincée une fois et avait subi un test de dépistage du VIH immédiatement après. Récemment, Marie a remarqué plus de seringues dans les chambres, et elle a pitié des toxicomanes qui les utilisent. Elle travaille au motel depuis si longtemps qu’elle ne craint pas de nettoyer les dégâts les plus répugnants des gens.
Un mardi matin, Marie entre dans une pièce pour la nettoyer. Il n’y a personne à l’intérieur et la pièce est déjà bien rangée. Elle se souvient d’une fois où un homme nu est sorti de la salle de bain alors qu’elle nettoyait, et elle et sa collègue de ménage, Evie, en avaient ri. Evie était partie pour Reno des années auparavant et elle manque à Marie. Maintenant, Marie nettoie la chambre rapidement, reconnaissante à l’invité qui avait été gêné par leurs dégâts. Il lui avait même laissé un petit pourboire. Marie nettoie la chambre en 15 minutes.
Le narrateur explique qu’il y avait beaucoup plus d’employés au motel. Au fil des ans, de nombreuses femmes et quelques hommes étaient venus et repartis. Souvent, ils abandonnent lorsqu’ils rencontrent des dégâts choquants dans les chambres d’hôtes – des sacrifices d’animaux aux suicides en passant par les meurtres. Marie avait été agressée par plusieurs collègues; sa voiture et son sac à main avaient tous deux été volés par d’autres bonnes. Marie estime qu’elle a travaillé avec des centaines de bonnes, mais Evie était sa préférée. Marie se confie souvent à son prêtre, le Père James, sur les difficultés de son travail.
Au cours de sa deuxième année de travail au motel, Marie avait eu une relation avec le fils de Naseem (le propriétaire). Ils se sont rencontrés six fois dans l’une des chambres d’hôtel et ont eu des relations sexuelles avec des serviettes en dessous pour ne pas gâcher le lit. Sans avertissement, Amir (le fils de Naseem) est retourné au Pakistan pour vivre avec ses grands-parents. Marie était soulagée, car elle avait trompé son mari. Le père James lui a dit comment accomplir son acte de contrition pour être pardonné.
Le motel appartient désormais à un nouveau propriétaire, mais Marie y travaille toujours. Son corps a pris une raclée au fil des ans à cause de tant de nettoyage. Le père James compare cela au travail dans une mine de charbon. Un jour, Marie utilise l’ordinateur de l’hôtel pour rechercher Evie. Elle voit qu’elle est femme de ménage dans une maison de retraite en Arizona. En voyant sa photo sur l’ordinateur, Marie pleure et imagine ce que ce serait d’appeler Evie.
Le dernier jour de Marie au motel, la propriétaire lui dit qu’elle n’a besoin que de nettoyer une chambre. Elle le nettoie soigneusement, en prenant un soin particulier pour s’assurer qu’il est impeccable. Il lui faut trois heures pour nettoyer la chambre et le propriétaire la paie pour deux semaines de travail. À la fin de son quart de travail, elle se change, monte dans sa voiture et rentre chez son mari. Les deux partagent une bière sur le canapé et regardent ensemble la météo aux actualités.
[ad_2]
Source link -2