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La version suivante de ce livre a été utilisée pour créer le guide : Murugan, Perumal. Une partie de femme. Chat noir, 2010.
Dans One Part Woman, Kali et Ponna sont mariées depuis 12 ans sans pouvoir concevoir. Fatiguées de la pression de leur famille et de leur communauté pour avoir un enfant, Kali et Ponna ont évité de passer du temps avec leurs parents. Après de nombreuses années de pression, cependant, les deux décident de rendre visite aux parents de Ponna pendant l’une des semaines du festival des chars.
Le roman commence avec Kali dormant sous l’arbre portia qu’il a planté devant la maison de ses beaux-parents peu de temps après avoir épousé Ponna. Pendant qu’il se repose sur le lit, Ponna lui prépare de la nourriture et l’esprit de Kali erre profondément dans son passé. En regardant l’arbre portia en bonne santé, Kali se demande pourquoi lui et Ponna sont toujours incapables de concevoir. Il se souvient de la litanie de rituels, de cérémonies et d’exploits spirituels que lui et Ponna ont accomplis pour tenter d’apaiser les dieux et de devenir fertiles.
Bien que Kali aime et continue de désirer sa femme malgré ces luttes, il souhaite toujours qu’ils puissent avoir des enfants afin que leur réputation dans le village soit restaurée. Parce que tout le monde croit qu’un homme devrait féconder sa femme dans les premiers mois du mariage, les anciens amis de Kali commencent à l’appeler impuissant, à le dépouiller de son honneur et à le faire se retirer dans le confort de sa propriété et de sa grange.
Avant son mariage avec Ponna, Kali était connu pour ses fréquentes errances et sa nature fougueuse. Son amour pour Ponna, ainsi que sa mauvaise réputation en ville, l’éloignent cependant de ses vieilles habitudes sauvages. Bien qu’il ait été souvent paresseux dans son enfance, la vie conjugale de Kali le rend dévoué à sa terre et à son bétail. Cultiver sa propriété permet à Kali de se valoriser, et son impressionnante grange fait rapidement l’envie de tout le monde en ville. Allongé sur le lit de camp chez ses beaux-parents, Kali pense à sa grange, souhaitant y être, ou qu’il puisse sortir dans la forêt avec son beau-frère Muthu pour se sentir plus installé.
Ponna lutte également pour faire face aux pressions incessantes de sa famille et de sa communauté. Au lieu d’ignorer les railleries de ses pairs et de sa mère, Ponna s’en prend souvent. Alors que Kali se cache pour échapper à la honte de leur stérilité, Ponna s’engage dans un combat verbal, tentant de se défendre par une confrontation immédiate.
Parce que tous les efforts de Kali et Ponna pour concevoir ont échoué, leur famille recommence à les exhorter soit à envisager un deuxième mariage, soit à envoyer Ponna au dix-huitième jour du festival afin qu’elle puisse trouver un autre homme avec qui procréer. La seconde moitié du roman présente la bataille entre le désir du couple de rester fidèle l’un à l’autre et son désir de fonder une famille. Désespéré que sa sœur et son beau-frère aient une vie meilleure, Muthu intervient. Il dit à Ponna d’aller au festival et la couvre en emmenant Kali au plus profond des champs et des bosquets pour le distraire. Pendant qu’il est dans le bosquet, Kali devient plus en paix avec l’idée de ne jamais avoir d’enfants, essayant d’adopter la vie non conventionnelle que son oncle Nallayyan lui assure est la meilleure. Pendant ce temps, pendant le festival, Ponna décide de coucher avec un autre homme pour tenter d’avoir un enfant, décidant que c’est sa dernière option restante pour la conception.
Dans les derniers instants du roman, Kali retourne chez lui, désespéré de retrouver sa femme. Au festival, Ponna se retire dans la foule avec l’homme avec qui elle a choisi de coucher. Lorsque Kali découvre que sa femme est allée au festival contre son gré, il recourt au désespoir en colère, croyant sa femme infidèle et trompeuse.
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