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La version suivante de ce livre a été utilisée pour créer ce guide d’étude : Paulsen, Gary. Traqueur. Aladdin Paperbacks / Division de l’édition pour enfants de Simon & Schuster. Deuxième édition d’Aladdin Paperbacks, 2007. Le livre a été publié pour la première fois en 1984.
Tracker est un roman pour adolescents de Gary Paulsen dans lequel John Borne, 13 ans, atteint la majorité en chassant seul près de la ferme familiale. La chasse a lieu après que son grand-père a reçu un diagnostic de cancer. À l’âge de quatre ans, John est venu vivre avec ses grands-parents après que ses parents ont été tués dans un accident d’avion. John en est venu à aimer profondément ses grands-parents, leur maison et leur mode de vie traditionnel. Deux semaines avant le début du roman, grand-père reçoit un diagnostic de cancer en phase terminale. Il n’a plus longtemps à vivre. Au début du roman lui-même, John et sa grand-mère, Aggie, sont encore sous le choc de la nouvelle.
Grand-père Clay sait que lorsqu’il sera parti, la ferme et grand-mère dépendront de John. Grand-père décide que John doit aller chasser seul cette année pendant la saison des cerfs, ainsi que des tâches supplémentaires autour de la ferme. John aime les corvées et le travail acharné, car il a l’impression d’accomplir quelque chose. John accepte également le travail supplémentaire, sachant très bien ce qu’on attendra de lui dans les mois à venir. En même temps, John est triste de devoir partir à la chasse sans grand-père, car ils ont toujours tout fait ensemble.
Lorsque la saison des cerfs arrive, John se dirige seul dans les bois, à destination du marais où la chasse au cerf est bonne. John et son grand-père ont toujours chassé uniquement pour leur survie. Ils ne tuent pas pour le plaisir ou pour toute autre raison. Ils ne tuent que pour la viande et se nourrissent d’autres parties du cerf, comme le suif pour les bougies. John trouve bientôt la piste d’une biche et il commence à suivre ses traces. Pendant des heures et des kilomètres, John suit la biche, la rattrape, la perd ou se retrouve incapable de lui tirer dessus. Il ne peut pas comprendre pourquoi. Mais au cours de la nuit, John se rend compte qu’il ne veut pas tuer la biche parce qu’il sent qu’il fait partie de la biche et que la biche fait partie de lui. Il a l’impression de faire partie de la nature, d’un ordre naturel de vie et de mort.
Lorsque John attrape enfin la biche, qui s’est effondrée d’épuisement, il choisit de ne pas la tuer. Au lieu de cela, il tend la main et la touche. Symboliquement, il voit la biche comme son grand-père. Son refus de tuer cette biche particulière symbolise qu’il sauvera en quelque sorte grand-père. John se rend compte que ce n’est pas le cas, mais il a toujours l’impression d’avoir un respect plus sain non seulement pour la nature, mais aussi pour la vie et la mort. La mort, accepte-t-il, fait naturellement partie de la vie. Le voyage de John dans les bois et sa prise de plus de responsabilités le font passer de la fin de l’enfance à la jeunesse. De retour à la maison, John annonce qu’il fera toutes les corvées le lendemain pour que grand-père n’ait pas à les faire. Au lieu de cela, grand-père peut se reposer.
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