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Le mouvement réaliste en littérature s’est d’abord développé en France au milieu du XIXe siècle, s’étendant rapidement à l’Angleterre, à la Russie et aux États-Unis. La littérature réaliste est mieux représentée par le roman, y compris de nombreuses œuvres largement considérées comme parmi les plus grands romans jamais écrits. Les écrivains réalistes ont cherché à raconter leurs romans d’un point de vue objectif et impartial qui représentait simplement et clairement les éléments factuels de l’histoire. Ils sont devenus maîtres dans la caractérisation psychologique, les descriptions détaillées de la vie quotidienne dans des contextes réalistes et le dialogue qui capture les idiomes de la parole humaine naturelle. Les réalistes se sont efforcés de représenter avec précision la culture contemporaine et les personnes de tous horizons. Ainsi, les écrivains réalistes ont souvent abordé les thèmes des conflits socio-économiques en opposant les conditions de vie des pauvres à celles des classes supérieures dans les sociétés urbaines comme rurales.
En France, les principaux écrivains réalistes comprenaient Honoré de Balzac, Gustave Flaubert, Émile Zola et Guy de Maupassant, entre autres. En Russie, les principaux écrivains réalistes étaient Ivan Tourgueniev, Fiodor Dostoïevski et Léon Tolstoï. En Angleterre, les auteurs les plus réalistes étaient Charles Dickens, George Eliot et Anthony Trollope. Aux États-Unis, William Dean Howells était le plus grand écrivain réaliste. Le naturalisme, une ramification du réalisme, était un mouvement littéraire qui mettait encore plus l’accent sur la représentation précise des détails de la vie contemporaine. Aux États-Unis, le régionalisme et la fiction colorée locale en particulier étaient des ramifications américaines du réalisme. Le réalisme a également exercé une profonde influence sur les productions dramatiques et théâtrales, modifiant les pratiques de scénographie, de costumes, de style d’acteur et de dialogue.
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