Résumé du pain d’épice et description du guide d’étude


La version suivante de ce livre a été utilisée pour créer le guide : Oyeyemi, Helen. Pain d’épice. Livres Riverhead, 2019.

Dans Gingerbread, Harriet Lee vit à Londres avec sa fille adolescente Perdita et sa mère Margot. Travaillant comme enseignante et tentant de s’impliquer dans la communauté universitaire de sa fille, Harriet feint la normalité. Pourtant, son cœur et son esprit sont perpétuellement préoccupés par les pensées du passé. Au lieu de s’engager pleinement dans sa réalité actuelle, Harriet tente de manière obsessionnelle de trouver de nouvelles informations sur sa patrie presque effacée, Druhástrana. Les pensées de son ancienne amie Gretel détournent simultanément Harriet de rester présente.

Lorsque Perdita est portée disparue, Harriet devient folle. Finalement, elle trouve sa fille allongée inconsciente dans sa chambre. Après l’hospitalisation de Perdita, Harriet découvre qu’elle a pris un sachet de poudre pour tenter de retourner à Druhástrana. Pendant son séjour à l’hôpital, Perdita finit par reprendre conscience, bien que sa capacité à parler ait été considérablement altérée. Au fur et à mesure qu’elle se rétablit, elle s’efforce de récupérer progressivement ses capacités d’élocution. Le médecin encourage Harriet à lui parler le plus possible afin d’accélérer sa mémoire linguistique.

Lorsque les femmes rentrent chez elles, Harriet raconte à Perdita l’histoire de son ancienne vie. Bien qu’elle n’ait pas révélé ces détails auparavant, elle se rend compte que Perdita doit connaître Druhástrana et la famille Kercheval.

Le récit revient ensuite dans le passé et détaille les premières vies de Harriet et Margot à Druhástrana. Pendant leur séjour, les Lee travaillent dans une ferme détenue et exploitée par Clio Kercheval. Les Lee luttent pour survivre et sont finalement contraints de vendre leur recette familiale de pain d’épice à Clio. Clio emploie également Harriet ainsi que de nombreuses autres jeunes filles de la ville de Druhá dans le cadre de sa nouvelle campagne. Elle transforme les filles en Gingerbread Girls et les utilise comme outils de marketing. Alors qu’elle est impliquée dans ce stratagème, Harriet commence à réaliser la vérité sur les tromperies et la corruption de Clio. Avec l’aide de la fille de Clio, Gretel, Harriet finit par échapper à Druhá et laisse complètement Druhástrana avec sa mère. Bien que leur temps ensemble soit bref, Harriet ne peut pas oublier Gretel et aspire à la retrouver.

Pendant son séjour à Whitby, en Angleterre, avec sa mère à Kercheval House, Harriet continue de porter la bague en gerbe de blé en bois que Gretel lui a donnée avant de quitter Druhástrana. Bien qu’elle commence à nouer de nouvelles relations, elle continue d’espérer que Gretel reviendra vers elle. Une fois qu’Harriet et Margot ont réalisé la nature peu recommandable des affaires d’Aristide et Ambrose Kercheval, les femmes quittent Kercheval House et tentent de vivre de manière indépendante. Ils luttent pour joindre les deux bouts et survivre dans un système sociétal qui repose presque entièrement sur le réseau électrique de Kercheval.

Au fil des années, Harriet se rapproche du fils d’Aristide, Gabriel. Leur intense intimité mène à la grossesse d’Harriet. Malgré le manque de soutien de Gabriel, Harriet garde l’enfant. Perdita, maintenant consciente de l’identité de son père, aime entendre parler de toutes les voix qui ont initialement protesté contre sa naissance.

Dans le présent narratif, Perdita révèle ensuite les détails de son voyage à la maison Kercheval et à Druhástrana. Elle raconte à Harriet comment Tamar et Ambrose Kercheval ont tenté de la tromper, et à propos de l’aide éventuelle d’Ambrose pour la transporter à Druhástrana. Harriet réalise alors à quel point sa fille a toujours désiré l’affection paternelle.

Après que Perdita se soit complètement rétablie, les trois femmes Lee se rendent à nouveau à Kercheval House. Harriet résout sa relation avec Gabriel et atteint un lieu de compréhension. Les Kercheval acceptent finalement Perdita comme faisant partie de la famille. Aristide propose alors aux femmes Lee de rester dans l’une des trois maisons que lui et la famille donnent aux familles les moins aisées. Les femmes Lee, avec Tamar, visitent deux des trois maisons. Le troisième, révèle plus tard l’agent, est en pain d’épice et ne peut être ouvert qu’avec deux anneaux en bois.

À la fin du roman, Harriet lâche son emprise sur le passé et s’oriente vers une nouvelle relation au-delà de celles dictées par Gretel ou les Kercheval.



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