Résumé du nouveau meilleur ami américain et description du guide d’étude


La version suivante de ce livre a été utilisée pour créer ce guide d’étude : Gatwood, Olivia. Nouveau meilleur ami américain. Bouton Poésie. 2017.

New American Best Friend commence par une série de poèmes dans lesquels l’oratrice se retrouve confrontée aux complexités de la puberté en tant que jeune fille. « Jordan Convinced Me That Pads Are Disgusting » et « The First Shave » voient l’oratrice se renseigner sur son corps en développement, tandis que « Ode to Elise in Eighth Grade Health Class », « Bubblegum or Bruise » et « Like Us » la dépeint en train de naviguer attentes sociales et l’émergence de son propre sens de la sexualité.

Le livre passe ensuite à un ensemble de poèmes décrivant le déménagement de l’orateur d’Albuquerque, au Nouveau-Mexique, à Trinidad. « Port of Spain, 2002 » propose une série d’instantanés de type montage alors qu’elle s’adapte à sa nouvelle vie sur l’île. « La seule chose que j’ai apportée d’Amérique » et « Saison sèche, 2003 » examinent comment son identité américaine s’entremêle avec son sens de soi en développement, et comment ses nouvelles relations et son paysage impactent et deviennent simultanément impactés par cela.

Dans la troisième section du livre, l’oratrice se retrouve plus profondément dans son adolescence, toujours aux prises avec bon nombre des mêmes problèmes liés à la misogynie sociétale et aux relations complexes. Dans « Backpedal », elle revient sur la mort prématurée d’une connaissance, tandis que dans « The Autocross », elle illustre le sexisme et le manque de respect auxquels elle a été confrontée en tant que coureuse. « Quatrième semaine de deux jours en juillet » dépeint la dualité des relations entre filles, et dans « L’été 2008 à Altura Park », nous voyons l’orateur traiter de la masculinité toxique et de l’infidélité.

La dernière série de poèmes à la fin du recueil aborde certains des problèmes de société plus larges qui sous-tendent les premières sections du livre. Des poèmes tels que « Manic Pixie Dream Girl Says » attaquent les représentations des femmes dans la culture populaire. L’infidélité et les relations toxiques réapparaissent dans « The Anthem I Have Sung », « The Ritual » et « The Scholar ». Cette dernière section est également marquée par une série d’odes, dont le sujet va des vêtements sous-estimés, tels que « Ode aux robes de mariée en bonne volonté » et « Ode à mes sous-vêtements d’époque », à la remise en question du langage misogyne, comme « Ode à la Word Pussy » et « Ode à mon visage de chienne ». Gatwood conclut le recueil avec « Ode aux femmes de Long Island », un dernier poème qui loue la force et la vivacité de certaines femmes de sa vie et les célèbre en tant que personnes, pour tous leurs défauts et vertus.



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