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La version suivante de ce poème a été utilisée pour créer ce guide : Glück, Louise. « Mock Orange de Louise Glück. » Fondation Poésie. https://www.poetryfoundation.org/poems/49601/mock-orange.
Notez que toutes les citations entre parenthèses dans le guide renvoient au numéro de ligne d’où provient la citation.
« Mock Orange » est le premier poème du quatrième recueil de poésie de Louise Glück, Le Triomphe d’Achille, qui a remporté le Melville Cane Award et un National Book Critics Circle Award. Glück a eu une longue et célèbre carrière, remportant des distinctions telles que le prix Nobel de littérature, le prix national du livre, le prix Pulitzer de poésie et sa nomination en tant que poète lauréate des États-Unis. Dans son ensemble, la collection interroge la masculinité et la fabrication de mythes. Dans ce document, Glück fait référence à des personnages masculins bien connus du mythe classique et biblique afin d’exposer leurs clichés et leurs pièges. « Mock Orange » expose la capacité de Glück à interroger ces thèmes à une échelle personnelle et intime.
Le poème commence par un orateur sans nom s’adressant à un « vous » sans nom dans la nuit car elle ne peut pas dormir. Elle se plaint que les fausses fleurs d’oranger dans la cour, et non la lune, l’empêchent de dormir. Elle dit qu’elle déteste les fleurs et qu’elle déteste le sexe, décrivant la déception de se retrouver avec un homme pour se séparer dans les mêmes rôles familiers. Le poème se termine avec l’oratrice se demandant comment elle peut dormir avec l’odeur des fausses fleurs d’oranger qui traversent la fenêtre.
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