[ad_1]
« The Seafarer » a été découvert pour la première fois dans le Livre d’Exeter, un manuscrit copié à la main contenant la plus grande collection connue de poésie en vieil anglais, conservée à la cathédrale d’Exeter, en Angleterre. « The Seafarer » a ses origines dans la période de la littérature anglaise en vieil anglais, 450-1100, une époque où très peu de gens savaient lire ou écrire. Le vieil anglais (le prédécesseur de l’anglais moderne) est le nom donné aux langues germaniques apportées en Angleterre par les tribus envahissantes qui ont traversé la Manche depuis l’Europe du Nord. Le vieil anglais ressemble aux langues allemandes et scandinaves, et on ne peut pas le lire sans au moins une année d’étude intense. Même dans sa forme traduite, « The Seafarer » fournit un portrait fidèle du sens de l’endurance stoïque, de la souffrance, de la solitude et du désir spirituel si caractéristique de la poésie en vieil anglais. « Le Marin » est divisible en deux sections, la première élégiaque et la seconde didactique. « The Seafarer » peut être lu comme deux poèmes sur des sujets distincts ou comme un poème se déplaçant entre deux sujets. De plus, le poème peut être lu comme un monologue dramatique, les pensées d’une personne, ou comme un dialogue entre deux personnes. La première section est une description douloureusement personnelle des attraits douloureux et mystérieux de la vie en mer. Dans la deuxième section, l’orateur passe brusquement à la spéculation morale sur la nature éphémère de la renommée, de la fortune et de la vie elle-même, se terminant par une vision explicitement chrétienne de Dieu comme colérique et puissant. Dans cette section, l’orateur exhorte le lecteur à oublier les réalisations terrestres et à anticiper le jugement de Dieu dans l’au-delà. Le poème aborde à la fois les idées païennes et chrétiennes sur la façon de surmonter ce sentiment de souffrance et de solitude. Par exemple, l’orateur parle d’être enterré avec un trésor et de gagner la gloire au combat (païen) et aussi de craindre le jugement de Dieu dans l’au-delà (chrétien). De plus, « The Seafarer » peut être considéré comme une allégorie traitant de la vie comme un voyage et de la condition humaine comme celle de l’exil de Dieu sur la mer de la vie. À titre de comparaison, lisez le poème de Samuel Taylor Coleridge « The Rime of the Ancient Mariner ». Quels que soient les thèmes que l’on trouve dans le poème, « The Seafarer » est un récit puissant de l’interaction d’un poète sensible avec son environnement.
[ad_2]
Source link -2