mardi, décembre 24, 2024

Résumé du long chemin et description du guide d’étude

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L’auteur, Bernard Moitessier s’apprête à faire le tour du monde en solitaire depuis Plymouth en Angleterre fin août 1968. Il participe à une course sponsorisée par le Sunday Times. D’autres amis marins de Bernard entrent dans la course dont Bill King et Loïck Fougeron. Bernard commence le voyage assez déprimé, mais semble puiser de l’énergie en regardant son bateau Joshua être suivi par des poissons volants et des barracudas. Bernard ne peut pas établir de communication directe avec l’île de Trinidad, mais espère que son observation sera au moins signalée à la Lloyd’s Agency. Le bateau Joshua semble apprécier le voyage, mais incite parfois Bernard à naviguer trop vite par gros temps. Cela contribue à un renversement de 60 degrés, mais avec peu d’effets néfastes. Bernard jette plus d’équipement et de poids supplémentaires en s’approchant des eaux dangereuses du cap de Bonne-Espérance. Il navigue dans la baie de Walker en Afrique du Sud et est capable de s’approcher d’un cargo et de lui lancer un paquet d’images et de matériel ainsi qu’une demande de contact avec le Sunday Times. Dans la foulée, Joshua est endommagé par une collision au passage avec le cargo et des dommages au beaupré. Les dégâts semblent irréparables, mais Bernard pense à son ami marin Henry Wakelam et parvient à réparer le beaupré en quelques jours.

Il y a d’autres moments dangereux, mais bientôt Bernard est capable de boire une bouteille de champagne pour fêter son passage aux abords du Cap de Bonne-Espérance. Fin octobre, il navigue dans l’océan Indien. Le temps est doux en novembre et Bernard aime observer et nourrir les oiseaux marins. Joshua s’approche rapidement de l’Australie tandis que Bernard prend son temps pour nourrir et filmer les puffins. Bernard pense à sa jeunesse naviguant dans le golfe de Siam et aux signes naturels qu’il a appris sur le comportement de la mer. Au sud de l’Australie, Bernard s’approche du port de Hobart en Tasmanie et navigue à proximité d’un petit bateau de pêche. Il a une conversation avec les pêcheurs et leur donne des photos de sa bûche et d’autres matériaux à apporter au Hobart Yacht Club. Il les interroge sur les autres marins des concours « Long Way », mais n’entend parler que d’un marin solitaire qui a récemment contourné la Nouvelle-Zélande. Bernard fête Noël en passant devant la Nouvelle-Zélande et sent que les marsouins aux côtés de Joshua guident le navire loin des récifs dangereux et dans l’océan Pacifique.

Alors qu’il s’apprête à passer le cap Horn, Bernard craint les icebergs. Ses exercices de yoga et son alimentation variée lui donnent la force de continuer son voyage, mais il décide qu’il ne veut pas retourner en Angleterre. La traversée du cap Horn est rude et excitante et Bernard doit se forcer à prendre un ris dans la voile de Joshua pour éviter de chavirer. Début mars, Joshua approche du cap de Bonne-Espérance pour la deuxième fois du voyage. Il y a du mauvais temps dans l’hiver de l’hémisphère sud et il y a quatre autres renversements de Joshua. Bernard se dirige vers Tahiti et éprouve un ressentiment croissant envers le « Monstre » de la civilisation. Il flirte avec l’idée d’aller dans les îles Galapagos primitives mais décide que ce serait une erreur. En arrivant à Tahiti, Bernard retrouve de vieux amis. Il confronte ce qu’il ressent comme un développement excessif du port et s’identifie à un rat persécuté sur les rochers du port. Bernard demande aux gens, dont, dans une réunion imaginaire, le Pape, de prendre soin et de préserver la Terre et les océans.

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