samedi, novembre 23, 2024

Résumé du Corbeau et description du guide d’étude

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« The .Raven » a été publié pour la première fois dans le New York Miroir du soir le 29 janvier 1845 et reçut des éloges populaires et critiques. Des sources de « The Raven » ont été suggérées, telles que « Lady Geraldine’s Courtship » d’Elizabeth Barrett Browning, Barnabé Rudge de Charles Dickens, et deux poèmes, « To Allegra Florence » et « Isadore » de Thomas Holly Chivers. Au cours des XIXe et XXe siècles, « The Raven » est devenu l’un des poèmes les plus célèbres d’Amérique, en partie à cause de son refrain facile à retenir, « Nevermore ». L’orateur, un homme qui se languit de son amour décédé, Lenore, a reçu la visite d’un oiseau qui parle qui ne connaît que le mot « Plus jamais ». Le narrateur se sent tellement affligé par la perte de son amour qu’il permet à son imagination de transformer l’oiseau en un prophète annonçant que les amants ne seront « plus jamais » réunis, pas même au paradis. Dans « The Philosophy of Composition », le propre essai de Poe sur « The Raven », il décrit le poème comme révélant le penchant humain pour « l’auto-torture », comme en témoigne la tendance de l’orateur à s’alourdir de chagrin.

Dans l’essai, Poe discute également de sa méthode de composition « The Raven ». Il prétend avoir beaucoup réfléchi à sa sélection du refrain, y reconnaissant le « pivot sur lequel toute la structure pourrait tourner ». Sa sélection du mot « Nevermore » est venue après avoir considéré son besoin d’un seul mot facile à retenir qui lui permettrait de varier le sens des lignes qui y mènent. Le poème utilise ce refrain, ou des variantes de celui-ci, comme mot de clôture de chaque strophe. Les strophes deviennent de plus en plus dramatiques au fur et à mesure que l’orateur fait des observations ou pose des questions qui révèlent sa tension croissante et sa raison décroissante. Le narrateur commence par des remarques innocentes et amusantes qui se construisent dans un crescendo régulier vers des expressions intenses de chagrin, qui se terminent toutes par « Nevermore » ou l’une de ses variantes.

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