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« Climbing » est le premier poème original du recueil de Lucille Clifton Le livre de la lumière, publié par Copper Canyon Press, en 1993. Il se trouve dans une section intitulée « Reflection », qui vient directement après un poème trouvé, « Light ». Dans une parole de douze lignes courtes, Clifton utilise un langage simple et accessible pour imaginer ce que ce serait d’avoir soixante ans. L’orateur s’imagine dans le futur et utilise cette image pour se faire des déclarations sur ce qui aurait pu être différent dans sa vie. Le ton du poème, cependant, n’est pas celui du désespoir mais plutôt celui de l’accomplissement. L’orateur ne souhaite pas vraiment avoir fait d’autres choix; elle semble plutôt fière des décisions qu’elle a prises et reconnaît la lutte qui l’attend à mesure qu’elle vieillit. Les thèmes abordés dans le poème incluent la relation entre le vieillissement et le désir, le temps et le regret, et les manières dont l’image de soi change à mesure que les êtres humains vieillissent. Clifton était dans la cinquantaine lorsqu’elle a écrit le poème, et il contient beaucoup de matériel autobiographique. Le titre de la collection aurait tout aussi bien pu s’appeler Le livre de Lucille, comme Lucille dérive du mot latin Lucius, signifiant « lumière ». De nombreux poèmes de la collection s’adressent aux membres de la famille, morts et vivants, et quelques poèmes s’adressent à des personnalités politiques, telles que le sénateur Jesse Helms, et à des personnages fictifs, tels que Clark Kent. Certains sont des monologues dramatiques, d’autres des paroles confessionnelles. Tous les poèmes sont marqués par la révélation et la perspicacité et évoquent des expériences universelles pour plaire aux lecteurs.
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