vendredi, novembre 29, 2024

Résumé des vols Vesper et description du guide d’étude

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La version suivante de ce livre a été utilisée pour créer le guide : Macdonald, Helen. Vols de Vêpres. Premier Grove Atlantique, 2020.

Vesper Flights d’Helen Macdonald est une collection de 41 essais explorant la relation entre les animaux et les humains. Les essais sont écrits du point de vue de Macdonald à la première personne.

Dans « Introduction », Macdonald décrit son inspiration pour écrire les essais ci-joints.

Dans « Nests », Macdonald décrit la collection de la nature de son enfance. La seule chose qu’elle n’aimait pas prendre, ce sont les œufs et les nids, car cette habitude met les oiseaux en danger.

Dans « Nothing Like a Pig », lorsque Macdonald voit un sanglier dans les bois, elle réfléchit à la façon dont les humains utilisent les animaux comme emblèmes. Elle essaie de voir le sanglier pour sa vraie nature plutôt que sa réputation légendaire.

Dans « Inspector Calls », Macdonald montre sa maison à de nouveaux locataires potentiels et regarde leur enfant communiquer avec son perroquet.

Dans « Field Guides », Macdonald explore l’histoire des guides de terrain modernes, en commençant par ceux de son enfance.

Dans « Tekels Park », Macdonald décrit ses aventures de jeunesse dans le parc près de la maison de son enfance. Dans les années qui ont suivi, les prairies du parc ont été détruites. Macdonald pleure la perte de ce terrain.

Dans « High-Rise », Macdonald visite l’Empire State Building pour observer les migrations d’oiseaux. Bien que ces gratte-ciel lui permettent de voir les oiseaux, ils empiètent également sur le vol aviaire.

Dans « The Human Flock », Macdonald se rend en Hongrie pour voir des cormorans pygmées. Une fois que Macdonald commence à considérer les troupeaux comme des membres individuels d’une famille plutôt que comme des géométries confuses, elle les apprécie mieux.

Dans « The Student’s Tale », Macdonald interviewe un étudiant réfugié. La conversation lui apprend l’attente et la peur humaine de l’impuissance.

Dans « Ants », la rencontre de Macdonald avec une colonne de fourmis volantes la fait réfléchir sur son insignifiance dans le contexte du vaste monde naturel.

Dans « Symptomatique », Macdonald compare son histoire de migraines à la crise climatique. Elle encourage son lecteur à cesser de penser apocalyptiquement et à croire en la possibilité d’inverser la crise climatique.

Dans « Sex, Death, Mushrooms », Macdonald chasse les champignons avec son amie. L’expérience lui fait réaliser que toute la nature n’est pas connaissable.

Dans « Winter Woods », les promenades hivernales de Macdonald dans les bois lui font contempler la riche histoire des forêts.

Dans « Eclipse », les expériences de Macdonald en tant que témoin d’éclipses lui enseignent le pouvoir unificateur de la nature.

Dans « In Her Orbit », Macdonald se rend au Chili avec l’exploratrice et géologue Nathalie Cabrol. Ensemble, les femmes chassent de nouveaux organismes vivants sur des terrains arides. L’histoire de Cabrol inspire les réflexions de Macdonald sur la vie et la mort.

Dans « Hares », Macdonald voit un lièvre dans sa ville natale, croyant que c’est un signe du printemps. Elle se demande ce qui se passera lorsque de telles créatures n’existeront plus.

Dans « Lost, But Catching Up », Macdonald regarde un chien solitaire le jour de l’anniversaire de la mort de son père. Sa pureté lui accorde la paix.

Dans « Swan Upping », quelques jours après le Brexit, Macdonald se penche sur l’obsession culturelle de la Grande-Bretagne pour les cygnes.

Dans « Nestboxes », Macdonald soutient que les nichoirs permettent aux individus d’apprécier facilement la nature.

Dans « Deer in the Headlights », Macdonald explique son aversion pour la recherche sur les cerfs. Après avoir étudié les collisions cerf-véhicule, ou DVC, les statistiques, son attitude change.

Dans « Le faucon et la tour », Macdonald visite la centrale électrique de Poolbeg à Dublin pour voir les faucons pèlerins nicher sur les tours de la station. L’expérience l’amène à considérer l’intersection de l’industrie et de la nature.

Dans « Vesper Flights », Macdonald décrit la vie et les habitudes des martinets. Ses rencontres avec les oiseaux mystérieux lui font prendre conscience de l’importance d’apprécier la vie.

Dans « In Spight of Prisons », Macdonald décrit comment les vers luisants inspirent la connexion humaine contemporaine avec la nature.

Dans « Sun Birds and Cashmere Spheres », Macdonald décrit la première fois qu’elle a vu des orioles.

Dans « The Observatory », Macdonald visite la réserve Welney Wildfowl and Wetlands Trust. Pendant son séjour, elle considère l’histoire de l’observatoire et l’importance nationale du cygne.

Dans « Wicken », Macdonald rend visite à Wicken Fen. Ce dernier fragment restant d’un écosystème de marais perdu fait réaliser à Macdonald à quel point le terrain a été perdu.

Dans « Storm », les orages enseignent à Macdonald l’impuissance humaine et l’importance de l’attente.

Dans  » Murmurations « , tandis que Macdonald attend au bureau des passeports, elle considère les habitudes de vol des oiseaux et le désir humain de liberté.

Dans « Un coucou dans la maison », Macdonald discute du livre de Maxwell Knight sur la vie avec un coucou. L’expérience de Knight avec l’oiseau prouve la tendance humaine à croire que les animaux reflètent l’expérience humaine.

Dans « The Arrow-Stork », Macdonald interroge son obsession de regarder les migrations des oiseaux en ligne. Elle se rend compte que le radar ne pourra jamais capturer les voyages mystérieux des oiseaux.

Dans « Ashes », Macdonald examine la relation entre la mondialisation et la brûlure des arbres.

Dans « A Handful of Corn », Macdonald utilise ses observations d’enfance sur les blaireaux voisins pour examiner les structures sociales des humains et des animaux.

Dans « Berries », alors que Macdonald se prépare pour Noël, elle considère la façon dont les humains abusent de la nature pour des raisons égoïstes.

Dans « Cherry Stones », Macdonald compare l’arrivée des gros pinsons en Grande-Bretagne à celle des immigrants et des réfugiés en quête de sécurité et d’abri.

Dans « Birds, Tabled », les expériences de Macdonald à la Bird Fair et au Bird Show l’inspirent pour son examen de l’histoire, du pouvoir et de la classe.

Dans « Hiding », Macdonald décrit le passe-temps et la culture de l’observation des animaux dans la cachette de la faune.

Dans « Eulogy », Macdonald se souvient de son défunt ami Stu. L’amour de Stu pour la nature et sa paix après sa mort confèrent à Macdonald un sentiment de paix.

Dans « Rescue », Macdonald parle du travail de son amie Judith en tant que réhabilitatrice. Un travail comme celui de Judith est une manière d’amender la violence humaine contre la planète.

Dans « Goats », Macdonald se souvient de son habitude d’enfance de pousser des chèvres.

Dans « Dispatches from the Valleys », Macdonald raconte le temps qu’elle a passé à travailler dans une ferme de faucons dans la campagne galloise. L’expérience lui a appris la survie, l’instinct et la liberté.

Dans « The Numinous Ordinary », Macdonald utilise des références musicales pour examiner ses rencontres avec le divin.

Dans « What Animals Taught Me », Macdonald retrace l’évolution de sa compréhension des animaux de l’enfance à l’âge adulte.

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