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Juvénal apparaît dans Satires 1-16
Juvénal est le narrateur de toutes les satires. Il se plaint de la mauvaise écriture dramatique, déclarant que les activités immorales du monde sont beaucoup plus intéressantes que les réécritures de la mythologie. Bien que son talent lui manque, l’indignation oblige Juvénal à écrire de la poésie ; il décide d’écrire sur les morts célèbres. Juvénal condamne les homosexuels et les hommes et les femmes adultères. Il préfère un eunuque honnête. Il est également dégoûté du travestissement. Il pense que le reste du monde se moque de Rome pour avoir élevé des « pensées ». Juvénal applaudit la décision d’Umbricius de s’installer à Cumes car la seule façon de rester un vrai Romain est de quitter Rome. Juvénal condamne Crispinus comme un monstre sans une seule vertu rédemptrice. Il critique également l’empereur Vespasien pour avoir utilisé le Conseil privé pour des raisons frivoles. Juvenal est en colère contre Trebius pour avoir enduré les insultes de Virro; il s’ennuie de la relation courtoise qui existait autrefois entre les patrons et les clients.
Juvénal condamne l’institution du mariage, déclarant que c’est une pure folie de se marier. Il dénonce le comportement des épouses et déclare qu’il vaut mieux coucher avec de jolis garçons que de se soumettre au mariage. Juvénal se plaint du manque de respect que les gens ont pour les artistes et les Muses ; il est difficile de se délecter de l’inspiration le ventre vide. Il croit que la vertu, et non le pedigree, est le seul test de la vraie noblesse. Il encourage Rebellius Blandus à montrer sa vertu pour se faire respecter. Juvénal s’entretient avec Naevolus sur le mode de vie de Naevolus et lui conseille de trouver de nouveaux clients. Il condamne l’humanité pour sa cupidité et son obsession de l’argent. Il dénigre les choses pour lesquelles les gens prient normalement et les encourage à prier pour un esprit et un corps sains, un cœur vaillant et la force de gérer les oppressions de la vie.
Juvénal condamne les hommes qui vivent au-dessus de leurs moyens et démontre sa capacité à vivre selon ses moyens. Il offre un sacrifice impressionnant aux dieux pour célébrer le retour sain et sauf de son ami, Catulle, mais il souligne que Catulle a trois héritiers ; Juvenal n’est pas un chasseur d’héritage. Juvenal réprimande la colère de Calvinus face au refus d’un ami de rembourser une dette et encourage Calvinus à acquérir une bonne perspective sur les torts qui lui ont été causés. Il met en garde Fuscinus contre le fait de donner de mauvais exemples à ses enfants. Juvenal raconte l’histoire du cannibalisme des Égyptiens, le condamnant comme un crime pour lequel aucune punition n’est trop sévère. Juvenal s’adresse à Gallius au sujet des récompenses d’une carrière réussie dans l’armée.
Wivesapparaît dans Satire 6
Juvenal déclare que se marier est une folie parce que les épouses ne sont pas chastes. Les épouses feront d’autres hommes des pères mais feront passer les enfants pour ceux de leur mari. Les femmes sont prêtes à traverser la mer avec leurs amants mais pas leurs maris. Les épouses sont vaniteuses. Certains adorent la violence masculine, comme les escrimeuses. Un lit conjugal est toujours chaud en querelles. Le luxe repousse l’avarice chez les femmes qui appelleront le frère ou les esclaves d’un amant si leur amant dort. Les maris doivent embaucher des gardes pour garder leurs femmes chastes, mais Juvenal se demande qui gardera les gardes. Les femmes aiment les eunuques parce qu’il n’y a aucune chance de grossesse.
Aucun musicien ne peut résister à une femme aux goûts musicaux. Juvénal trouve particulièrement désagréables les commérages, les ivrognes et les menaces bien lues. Les épouses punissent les esclaves lorsque les esclaves ne peuvent pas rendre ses apparitions aussi gracieuses ou belles qu’elle le souhaite. Les femmes font passer les bâtards pour des enfants nobles. Elles demandent l’absolution et demandent aux devins des charmes pour faire oublier des choses à leurs maris. Les femmes détestent les enfants des concubines et assassinent leurs beaux-fils.
Les homosexuels apparaissent dans Satire 2 et 6
Les homosexuels dégoûtent Juvénal. Ils s’habillent en femmes mais hésitent à arracher leur pénis, et leurs rites de fertilité excluent les femmes. Juvénal les considère comme une honte pour leurs familles. Il imagine comment les héros morts d’Hadès réagiraient si des hommes épousaient d’autres hommes. Le reste du monde se moque de Rome pour avoir élevé des « pensées ». Dans la sixième satire, Juvénal montre son plus grand dédain pour le mariage en disant qu’il vaut mieux coucher avec de jolis garçons que d’endurer la folie du mariage.
Umbricius apparaît dans Satire 3
Umbricius est le narrateur de la majeure partie de la satire trois. Il décide de déménager à Cumes parce qu’il est incapable de gagner sa vie décemment à Rome car c’est un homme moral et honnête. Il dédaigne les mensonges et l’homosexualité, ainsi que la moquerie des pauvres. Umbricius est un Romain pauvre et né dans le pays. Il doit mettre fin à sa conversation car il est tard, mais il dit à Juvenal de lui rendre visite à Aquinum et il lira les satires de Juvenal.
Vespasien apparaît dans Satire 4
Vespasien est l’empereur mentionné dans l’anecdote de la satire quatre. Il reçoit un gros poisson d’un pêcheur mais ne trouve pas de plat assez grand pour contenir le poisson. Il appelle le Conseil privé pour résoudre son dilemme. Vespasien suit les conseils de Montanus pour faire préparer un plat qui contiendra le poisson. Juvénal reproche à Vespasien d’avoir convoqué le Conseil privé pour une affaire aussi insignifiante et d’avoir privé Rome de ses fils les plus illustres et les plus nobles. Lorsque les gens du commun ont commencé à craindre Vespasien, il était foutu.
Trebius apparaît dans Satire 5
Trebius est le client de Virro. Il se précipite pour dîner chez Virro lorsqu’il est invité, pour être mal traité. Juvenal dit à Trebius qu’il devrait avoir honte de son style de vie car le dîner ne vaut pas les insultes qui l’accompagnent.
Virroapparaît dans Satire 5 et 9
Dans la satire cinq, Virro est le mécène désagréable et grossier de Trebius. Dans la satire neuf, il est l’amant de Naevolus qui traite mal Naevolus après lui avoir révélé ses secrets.
Les enseignants apparaissent dans Satire 7
Les parents s’attendent à ce que les enseignants enseignent tout aux enfants bien qu’ils soient peu payés et méprisés par leurs élèves. On s’attend à ce que les enseignants sachent tout et maintiennent les élèves dans un ordre parfait. Ils prennent ce qu’ils peuvent obtenir parce qu’ils ne peuvent pas obtenir ce qu’ils méritent.
Rebellius Blandus apparaît dans Satire 8
Rebellius Blandus est probablement Valerius Ponticus. Juvénal lui adresse une satire 8, lui conseillant de ne pas s’appuyer sur sa lignée car la seule véritable noblesse est la vertu.
Naevolus apparaît dans Satire 9
Satire neuf présente une conversation entre Naevolus et Juvenal. Naevolus apparaît sinistre chaque fois qu’il rencontre Juvenal. Il a perdu du poids et il y a des rides sur son visage. Il a transformé son mode de vie car cela ne lui rapporte jamais un juste retour. Naevolus donne à son amant, Virro, deux enfants et demande un terrain pour se retirer. Virro ignore Naevolus et agit comme s’il avait trahi les secrets de Virro. Naevolus se plaint que Fate ignore ses appels.
Rutilus apparaît dans Satire 11
Rutilus est un gourmand bien connu qui vend tout pour les épices et en est réduit à la bague des gladiateurs.
Catulle apparaît dans Satire 12
Catulle est l’ami de Juvénal pour le retour en toute sécurité duquel Juvénal offre des sacrifices. Lorsque le navire de Catulle coule, il jette ses affaires par-dessus bord car il accorde plus d’importance à sa vie qu’à sa richesse, ce qui est rare. Il rentre sain et sauf au port d’Ostie.
Calvinus apparaît dans Satire 13
Juvenal adresse la satire treize à Calvinus, réprimandant sa colère contre un ami pour avoir refusé de rembourser une dette. Juvénal rappelle à Calvinus que sa situation pourrait être pire et tente de le dissuader de se venger.
Fuscinus apparaît dans Satire 14
Dans la quatorzième satire, Juvénal déconseille à Fuscinus de permettre à ses enfants de voir immoral parce qu’ils imiteront l’exemple de leur père.
Les Égyptiens apparaissent dans Satire 15
Les Égyptiens vénèrent les chats, les chiens et les crocodiles. Ils pratiquent également le cannibalisme sans juste motif.
Gallius apparaît dans Satire 16
Juvenal adresse la satire seize à Gallius, louant les récompenses d’une carrière réussie dans l’armée.
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