lundi, décembre 23, 2024

Résumé des sages-femmes et description du guide d’étude

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Midwives est le troisième roman de l’auteur acclamé Chris Bohjalian. Le roman raconte l’histoire de Sibyl Danforth, une sage-femme jugée pour la mort d’un de ses clients. Un procès censé porter sur la mort d’une femme célibataire se transforme en une bataille entre la science et la nature alors que le droit d’une femme de choisir d’accoucher à domicile est débattu. La jeune fille de Sibyl, Connie, quatorze ans, regarde de côté, impuissante à contrôler le chaos qui menace de déchirer sa famille. Midwives est un roman de famille, de confiance et de loyauté qui tiendra le lecteur en haleine jusqu’à la toute dernière page.

Charlotte Fugett Bedford est une femme tranquille qui a récemment déménagé dans le Vermont depuis l’Arkansas. Charlotte a peu d’amis et se perd souvent dans l’ombre de son mari ministre, Asa. Lorsque Charlotte tombe enceinte de son deuxième enfant, elle choisit de consulter une sage-femme plutôt qu’un obstétricien. La grossesse de Charlotte se déroule sans incident, à l’exception d’une brève lutte contre l’anémie, convaincant Sibyl Danforth, sa sage-femme, qu’elle est une bonne candidate pour un accouchement à domicile. Lorsque Charlotte entre en travail, il semble que l’accouchement se déroulera aussi sans incident que la grossesse. Cependant, les choses commencent à changer à mesure que le travail progresse tard dans la nuit.

Lorsque Sibyl remarque des saignements excessifs, elle suggère à Charlotte d’être transférée à l’hôpital. Malheureusement, une tempête de verglas a coupé les téléphones. Sibyl décide d’aller chercher sa voiture et de déplacer Charlotte de cette façon, mais l’allée est si glissante que Sibyl finit par conduire sa voiture dans un banc de neige. Il semble qu’il n’y ait aucun espoir de déplacer Charlotte. Heureusement, le saignement s’arrête et Charlotte semble être hors de danger.

Sibyl encourage Charlotte à pousser. Pendant quatre heures, le bébé descend le canal de naissance mais refuse obstinément d’émerger dans le monde. Sibyl continue d’encourager Charlotte, convaincue que le bébé n’a plus besoin que d’un bon coup de pouce. Charlotte est fatiguée et a du mal à trouver l’énergie nécessaire pour répondre aux demandes de Sibyl. Soudain, Charlotte a une crise qui, selon Sibyl, est causée par un accident vasculaire cérébral. Sibyl effectue la RCR, mais après le dernier cycle, Sibyl ne sent pas de pouls ni n’entend de battement de cœur. Sibyl détecte cependant un battement de cœur fœtal. Sibyl choisit de faire une césarienne et de délivrer le bébé de sa mère décédée.

Le corps de Charlotte est emmené au bureau du médecin légiste pour ce que Sibyl dit être une autopsie de routine. À l’insu de Sibyl, son assistante commence à remettre en question les actions de Sibyl en appelant le médecin auxiliaire de Sibyl, Asa, et enfin la police. Cette nuit-là, Sibyl reçoit la visite de la police qui prend une déposition. Sibyl engage rapidement un avocat par l’intermédiaire duquel elle apprend que l’État va l’inculper à la fois d’exercice de la médecine sans permis et d’homicide involontaire. Lorsque l’autopsie est publiée, Sibyl commence à perdre une partie de sa confiance en sa propre innocence. Il semble que l’autopsie n’ait trouvé aucun signe d’accident vasculaire cérébral, mais a déterminé que Charlotte était décédée des suites d’une perte de sang directement liée à la césarienne pratiquée par Sibyl.

Le procès devient rapidement un débat entre la science et la nature, se disputant la sécurité de l’accouchement à domicile. L’accusation affirme que Sibyl n’est pas qualifiée pour fournir des soins médicaux à une femme en travail et que sa profession a induit Charlotte et son mari en erreur dans un faux sentiment de sécurité. La défense affirme que Sibyl a moins de mortalités infantiles et maternelles qu’une pratique médicale comparable et que Charlotte est en partie responsable de sa propre mort pour avoir retenu une partie de ses antécédents médicaux.

Au cours du procès, il s’avère que Sibyl tient un journal dans des cahiers à la maison qui pourraient avoir ses impressions personnelles sur la nuit de la mort de Charlotte. Le juge ordonne que les cahiers soient apportés au tribunal afin qu’il puisse déterminer s’ils doivent être remis aux procureurs. Connie, la fille de Sibyl qui a lu ces journaux, vole certains passages des cahiers afin de protéger sa mère de ses propres paroles. Quelques jours plus tard, après que le juge a décidé que les cahiers n’avaient aucune incidence sur l’affaire. Sibyl est déclarée non coupable de l’accusation d’homicide involontaire.

Connie grandit pour devenir obstétricienne, malgré la gifle que cela semble offrir à la profession de sa mère. Connie croit qu’il est important de garder les lignes de communication ouvertes entre la communauté médicale et les sages-femmes. Connie pense également que quelqu’un a une dette envers les femmes pour ce qui s’est passé la nuit où Charlotte Bedford est décédée. Connie ressent cela parce que sa mère a écrit dans son journal la nuit après la mort de Charlotte qu’elle a senti le corps tressaillir. Charlotte était vivante quand Sibyl lui a coupé l’abdomen.

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