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Lorsqu’Aleksandar Hemon s’est rendu à Chicago depuis sa Bosnie natale en 1992 avec un bref visa culturel, il ne s’attendait pas à devenir un écrivain de premier plan et à succès en anglais dans les six ans. C’est pourtant ce qu’il a fait, en immigré aux États-Unis en tant que réfugié lorsque la guerre a éclaté en Bosnie-Herzégovine (l’un des anciens États yougoslaves) et en maîtrisant la langue anglaise. Hemon a commencé à écrire des nouvelles semi-autobiographiques caractérisées par une voix franche et immédiate, traitant souvent de thèmes politiques, notamment la guerre dans l’ex-Yougoslavie et l’histoire yougoslave. Sophistiqués et saisissants, ses récits lui ont valu une reconnaissance presque immédiate en tant qu’écrivain important et doué.
L’une de ces histoires, intitulée « Islands », est ancrée dans la riche histoire de la Yougoslavie des années 1970, avant la mort du dictateur, le maréchal Tito, et la région est tombée dans l’instabilité et la guerre civile. Dans ce document, un jeune garçon de Sarajevo, en Bosnie, se rend sur une île croate avec ses parents afin de passer des vacances chez son oncle Julius. Profondément touché par les histoires de son oncle sur les camps de travail soviétiques de Joseph Staline dans les années 1940, le jeune narrateur devient conscient de sa place dans la politique et la société. « Islands » est composé de trente-trois courtes scènes qui commentent des thèmes allant de la mémoire et des traumatismes de l’enfance à la conscience de soi et au concept d’autorité. Initialement publié dans l’édition du printemps 1998 de Socs de charruel’histoire a été réimprimée comme le récit d’ouverture du premier recueil de nouvelles de Hemon, La question de Bruno (2000).
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