samedi, novembre 30, 2024

Résumé des histoires recueillies et description du guide d’étude

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Stag, Stuffy et William apparaissent dans Madame Rosette (Chapitre 8)

Stuffy, Stag et William sont trois pilotes de la RAF qui se rendent au Caire pour un congé de quarante-huit heures après avoir combattu en Libye à la recherche de femmes. Ils rencontrent Madame Rosette, une exploitante et prédatrice de bordel qui maintient ses « filles » dans un quasi-esclavage. Les trois militaires s’indignent des injustices perpétrées sur les jeunes femmes contraintes de se vendre pour survivre. Au lieu d’acheter leurs services, les hommes décident d’enfermer Madame Rosette dans son bureau et de laisser les prostituées échapper à ses griffes. Ils achètent des boissons aux femmes et les transportent ensuite à chaque maison dans des calèches louées. Tous les trois sont de jeunes Britanniques plutôt simples mais honnêtes dont le sentiment d’injustice est plus fort que leur convoitise ou les effets de l’alcool.

Lionel Lampson apparaît dans Nunc Dimitis (Chapitre 11}

Lionel Lampson est un aristocrate britannique qui se prend pour un vrai citoyen du monde, un collectionneur d’art raffiné, un homme à femmes et un homme fringant. Il devient silencieusement enragé lorsqu’une de ses connaissances sociales, Gladys Ponsonby, lui dit que la femme avec qui il sort, Janet de Peagia, le trouve ennuyeux. Astucieusement, Lionel s’arrange avec un artiste populaire pour peindre Janet à sa manière habituelle : d’abord un nu, puis une silhouette entièrement vêtue. Lionel lave ensuite les couches supérieures de peinture avec un solvant pour révéler une Janet nue. Il invite ses amis à un dîner spécial, où il révèle soudainement et de manière choquante le portrait nu. À ce moment-là, il s’est déjà enfui pour des « vacances ». A son retour à Londres, Lionel apprend que ses amis ne sont pas amusés ; ils le pensent un fluage. Il se sent encore plus mal quand il reçoit un mot de pardon de Janet.

Carlos apparaît dans L’Homme du Sud (Chapitre 13)

Carlos est le vieil homme étrange et sadique d’origine sud-américaine incertaine qui aime faire des paris qui lui permettent de couper un doigt de son adversaire s’il est victorieux. Carlos propose de parier sur une nouvelle Cadillac brillante et élégante qu’un soldat en vacances en Jamaïque ne peut pas faire allumer son briquet dix fois de suite. Alors que le vieil homme vénal est sur le point de couper le petit doigt du soldat, sa femme entre dans leur chambre d’hôtel et lui crie d’arrêter. Elle dit au soldat que son mari a pris l’habitude de faire de tels paris toute sa vie ; la Cadillac lui appartient et ne lui appartient même pas de la donner.

Klausner apparaît dans The Sound Machine (Chapitre 15)

Klausner est un ingénieur du son, « un homme frêle, nerveux et nerveux, avec des mains toujours en mouvement », qui construit dans sa cabane à outils un appareil capable de détecter et d’amplifier les sons des plantes. Par exemple, lorsqu’une rose est coupée dans un jardin voisin, la machine enregistre un cri aigu. Scoot, son ami médecin, passe un soir et Klausner lui demande de l’aider pour une expérience. Il coupe un arbre avec une hache, la machine capte un grand rugissement de douleur et une branche géante tombe en écrasant sa machine. Klausner demande fébrilement au médecin de peindre la plaie avec de l’iode, alors que le médecin essaie de calmer ses nerfs.

M. Botibol apparaît dans M. Botibol (Chapitre 16)

M.Botibol est un homme grand et mince sans épaules qui hérite d’un bien commercial. En train de le vendre, il confie à son avocat qu’il n’a, à cinquante-huit ans, jamais connu un seul succès de sa vie. Mais M. Botibol a un débouché secret : il « dirige » de la musique classique à la radio. Bientôt, il achète une baguette de chef d’orchestre, des queues noires et fait construire une mini salle de concert dans sa maison où il peut diriger. Il rencontre une jeune femme dans un magasin de musique et l’invite à dîner ; il lui montre ensuite la salle de concert avec un piano dont les touches ne produisent aucun son. Elle suit son fantasme et « joue » du piano tandis qu’il « dirige » l’orchestre vers des enregistrements par haut-parleur. Elle révèle alors qu’elle est professeur de musique, et le monde fantastique de M. Botibol est rapidement brisé.

Adolph Knipe apparaît dans The Great Automatic Grammatizator (Chapitre 20)

Adolph Knipe est un passionné d’informatique et un inventeur qui a le désir secret de devenir écrivain. Après de nombreuses tentatives infructueuses de vendre une histoire de magazine, il invente une machine capable d’écrire des histoires à la demande adaptées à chaque magazine. Utilisant des noms fictifs, il inonde les magazines d’histoires écrites par ordinateur et elles se vendent comme des petits pains. Il offre de grosses sommes d’argent à des écrivains établis en échange de l’utilisation de leurs noms dans ses histoires. Knipe accapare le marché de l’écriture de fiction et le narrateur, un écrivain en difficulté qui a été approché par Knipe, demande à la fin l’intégrité d’affamer ses enfants – si besoin est – pour réussir par ses propres talents et efforts.

M. Botibol apparaît dans Dip in the Pool (Chapitre 21)

Le malheureux M. Botibol fait une autre apparition, cette fois sur un paquebot où il envisage de gagner la cagnotte quotidienne de 7 000 $ où les passagers parient sur la vitesse et l’emplacement réels du navire. Lorsqu’il apparaît que son erreur de calcul lui fera perdre, il saute par-dessus bord dans l’espoir de retarder le navire. Mais il s’éclipse dans la mer et est oublié. Dans les deux manifestations (chapitre 16 et chapitre 21), M. Botibol est un perdant stéréotypé dont les tentatives pour devenir réel échouent parce qu’elles sont basées sur la tromperie et la manipulation des autres.

Arthur Beauchamp apparaît dans My Lady Love, My Dove (Chapitre 24)

Arthur Beauchamp est un collectionneur de papillons aux manières douces qui est persuadé par sa femme, Pamela, d’installer un microphone dans leur chambre d’amis afin qu’ils puissent espionner leurs invités du week-end. Ils entendent le couple se disputer sur la façon dont ils ont perdu un jeu de cartes contre leurs hôtes. Alors que les invités parcourent leur catalogue de trucs pour soulager les Beauchamp de leur argent, Pamela et Arthur écoutent attentivement et apprennent tous leurs trucs afin qu’ils ne puissent plus être dupés.

Mary Maloney apparaît dans Lamb to the Slaughter (Chapitre 26)

Mary Maloney est la femme enceinte d’un policier. Son mari rentre un jour du travail et lui annonce qu’il la quitte. Réprimant ses émotions, Mary lui demande de rester pour le dîner de toute façon, et alors qu’il est assis à la table de la cuisine, elle prend un gigot d’agneau congelé du réfrigérateur et le matraque à mort. Elle se rend ensuite à l’épicerie locale pour ramasser quelques articles pour se fournir une histoire de couverture et met l’agneau au four. Lorsque les détectives de la police arrivent, elle leur sert l’agneau pendant qu’ils se demandent quelle aurait pu être l’arme du crime.

Bruce Foxley apparaît dans Galloping Foxley (Chapitre 27)

Bruce (Galloping) Foxley est le nom d’un garçon de l’école préparatoire qui a autrefois fait de la vie de William Perkins un enfer, qui fait désormais la navette tous les jours dans le même train pour se rendre à son travail à Londres. Perkins remarque un autre passager dont il est convaincu qu’il doit être Foxley, le fléau de sa jeunesse. Dans son esprit, Perkins revit la torture et les abus de ses jours d’école aux mains du tyran sadique Foxley. Perkins décide de se présenter, ce qu’il fait. L’autre homme fait de même, mais il n’est pas Foxley.

Cyril Boggis apparaît dans Parson’s Pleasure (chapitre 31)

Cyril Boggis est un antiquaire londonien astucieux qui parcourt la campagne anglaise à la recherche de pièces inconnues et de grande valeur qu’il peut acheter à bas prix et vendre avec un énorme profit dans la ville. Il s’habille d’une robe d’ecclésiastique et se rend le dimanche dans les petites villes rurales à la recherche de trésors cachés. Cette forme d’escroquerie offre à Boggis une vie confortable, et un jour, il tombe sur un meuble extrêmement précieux dans la grange d’un fermier. Il offre au fermier une bouchée de pain, lui disant qu’il ne veut que les jambes du cabinet. Essayant d’être utiles, le fermier et ses amis coupent les jambes et brisent le reste de l’antiquité en bois de chauffage.

Le colonel apparaît dans Mme Bixby et le manteau du colonel (chapitre 33)

Identifié uniquement comme « le colonel », il est l’homme qui a eu une liaison de longue date avec Mme Bixby, l’épouse d’un dentiste à New York. Quand il rompt l’affaire, il lui donne un manteau de vison qui devient le centre de cette histoire de double trahison.

Oswald Cornelius apparaît dans Le Visiteur (Chapitre 39)

Oswald Cornelius est l’aristocrate britannique qui conduit sa voiture de sport à travers le désert du Sinaï et rencontre un riche Arabe avec un magnifique manoir, une femme et deux filles. L’une des filles est belle, tandis que l’autre est une lépreuse cachée dans sa chambre.

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