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Le livre est présenté comme une série de discours, allant de la Grèce antique aux années 1990. Ces discours incluent des orateurs célèbres tels que Périclès et Marc Antoine, bien que ce dernier soit en fait le discours écrit par Shakespeare pour sa pièce « Jules César ». Ces premières offres couvrent plusieurs sujets, mais beaucoup se concentrent sur la mort de soldats ou de personnes importantes. Au fur et à mesure que les emplacements géographiques des orateurs changent en Europe, les sujets ne changent que légèrement. Martin Luther s’adresse à ses juges concernant l’accusation d’avoir trahi l’Église catholique avec ses enseignements. Ces enseignements deviennent la base du mouvement protestant et Luther, sachant probablement qu’il fait face à une condamnation à mort, s’en tient à ses paroles. Jean Calvin parle également d’idéaux religieux avant que le sujet ne revienne à la guerre avec Napoléon.
À la suite de ces intervenants, des orateurs d’une période de la Révolution américaine sont présentés. Il y a des discours appelant au patriotisme et d’autres rappelant le prix de la liberté. Benjamin Franklin souligne qu’il a quelques problèmes avec la Constitution telle qu’elle est présentée, mais dit que tout le monde peut trouver quelque chose dans ce document avec lequel être en désaccord.
Les discours qui suivent abordent les préoccupations mondiales de la reprise après ce qui allait devenir la Première Guerre mondiale et la peur imminente de la Seconde Guerre mondiale. Les discours incluent la crainte que la guerre soit inévitable et la nécessité d’une évaluation minutieuse de la situation. Les paroles des orateurs se tournent ensuite vers la nécessité d’une paix mondiale durable et les moyens d’y parvenir, plusieurs indiquant la nécessité de répandre la démocratie afin d’atteindre et de maintenir cette paix recherchée. Pour équilibrer, il y a des discours d’Adolf Hitler et de Mussolini, vantant leurs objectifs et appelant leurs partisans à se battre pour les idéaux exprimés par ces hommes.
Le livre passe ensuite aux discours des années 1960. Avec le conflit au Vietnam en toile de fond, de nombreux orateurs sont à nouveau à la recherche de la paix mondiale. Les problèmes persistants auxquels le monde est confronté, y compris l’accumulation d’armes nucléaires, suscitent de nouveaux appels au changement. John F. Kennedy, lors de son discours inaugural en tant que président des États-Unis, qualifie son élection de célébration de la liberté plutôt que de victoire pour un parti politique.
Le livre se termine par des orateurs noirs célèbres et des discours de la période 1974-1997. Les conférenciers couvrent un éventail d’activistes noirs, dont beaucoup présentent leurs réflexions sur la manière de parvenir à de meilleures relations raciales. La dernière section, 1974-1997, comprend le discours inaugural de Ronald Reagan qui dit que les Américains tiennent le changement de commandement non violent pour acquis et cite des guerres qui éclatent pour le pouvoir politique dans d’autres pays.
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