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Les trains de voyageurs ont un itinéraire prédéterminé. Au fur et à mesure qu’ils avancent sur cet itinéraire, ils s’arrêtent à des gares spécifiques, puis se dirigent vers leur destination finale, date à laquelle tous les passagers doivent débarquer. Cela fournit aux auteurs Strauss et Howe l’analogie pour décrire une progression continue et séquentielle des générations à travers l’histoire américaine. Les passagers montent à bord du train en tant que nourrissons, se dirigeant vers la station suivante de l’âge adulte en hausse, puis vers la station de la quarantaine et, enfin, vers la station de l’âge adulte. Le train termine son parcours lorsque les anciens sont décédés. Derrière ce premier train, une autre génération est montée à bord de son propre train, très différente des passagers du train qui précède et du prochain train à embarquer dans vingt-deux ans.
L’hypothèse est claire : il n’y a que quatre types générationnels : idéaliste, réactif, civique et adaptatif, chacun avec son propre ensemble de caractéristiques, de comportements, d’attitudes et d’activités. Celles-ci apparaissent à des intervalles d’environ vingt-deux ans, définissant et redéfinissant les priorités de la société américaine et participant aux événements de manière très spécifique. Au fur et à mesure que quatre générations traversent le temps, un cycle s’achève. L’Amérique a achevé quatre de ces cycles et en est actuellement à son cinquième et incomplet. Au cours de chaque cycle, il y a deux moments sociaux, un éveil spirituel, au cours duquel les valeurs sont arrachées et révisées, et une crise séculaire, une période de dix ans de bouleversements ayant jusqu’ici inclus une guerre. Sur la base de cette marche générationnelle, Strauss et Howe sont alors en mesure de faire des prédictions générales sur la future voie que l’Amérique prendra alors que le cycle actuel se termine.
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