Résumé des documents sur l’Afghanistan et description du guide d’étude


La version suivante de ce livre a été utilisée pour créer le guide : Whitlock, Craig. Les papiers de l’Afghanistan : une histoire secrète de la guerre. Simon & Schuster, 2021.

Le livre de Craig Whitlock est divisé en six parties et vingt et un chapitres. L’auteur divise chronologiquement la guerre en six étapes distinctes qui reflètent la chronologie du livre.

Chapter One: A Muddled Mission dresse le décor des premiers jours de l’invasion américaine de l’Afghanistan et se concentre sur les attitudes de l’administration Bush face à la guerre à ses débuts.

Chapitre 2 : « Qui sont les méchants ? » présente l’énigme de fixer des objectifs de guerre et de limiter le combat à un ensemble spécifique de militants en Afghanistan. Chapitre trois : Le projet d’édification de la nation explore comment la mission a changé militairement et politiquement. Il explore les difficultés à interpréter un état vassal et à maintenir une occupation dans un pays éloigné d’une culture incongrue.

Chapitre quatre : L’Afghanistan devient une réflexion après coup explore comment la guerre en Irak détourne la priorité du Pentagone de l’Afghanistan. Whitlock affirme que la guerre en Irak a rendu la guerre en Afghanistan moins gagnable.

Le chapitre cinq : Faire renaître une armée de ses cendres examine la formation de l’armée afghane en tant que force de combat par procuration.

Chapitre six : L’islam pour les nuls se penche sur la formation culturelle inadéquate que les soldats de l’occupation américaine ont reçue avant de se déployer en Afghanistan. Whitlock détaille le travail des équipes des opérations psychologiques de l’armée pour pacifier la population afghane.

Le chapitre sept : Jouer des deux côtés contextualise la position stratégique du Pakistan dans la guerre. Le rôle du Pakistan dans l’aide à l’insurrection talibane est examiné d’un point de vue géostratégique.

Chapter Eight: Lies and Spin explore les efforts de relations publiques du Pentagone alors que la guerre se prolonge.

Chapitre neuf : Une stratégie incohérente détaille la transition de Donald Rumsfeld à l’ancien directeur de la CIA, Robert Gates, au sein du secrétaire à la Défense. Whitlock présente un changement de stratégie perceptible mais n’explique pas grand-chose des rouages ​​​​de celui-ci au-delà de la description de deux personnalités divergentes.

Chapter Ten: The Warlords décrit des divergences flagrantes entre les aveux américains de défendre les droits de l’homme en Afghanistan et les dossiers de ses alliés militaires les plus proches là-bas. Il brosse un tableau de la sauvagerie incontrôlée dans le pays et sonde docilement la complicité des États-Unis en tant que puissance occupante opérant dans le pays à travers une série de mandataires politiques et militaires.

Chapitre onze : Une guerre contre l’opium explique le commerce de l’opium en Afghanistan qui a prospéré sous l’occupation américaine. Le chapitre décrit la vie dans la province de Helmand, dans le sud de l’Afghanistan, où la majeure partie de l’opium du pays est récoltée. À son apogée, 80 % de l’héroïne mondiale provenait d’Afghanistan. Whitlock évalue l’opération River Dance de l’armée, supervisée par la Drug Enforcement Agency des États-Unis.

Chapter Twelve: Double Down a discuté de la transition de la présidence de George W. Bush à celle de Barack Obama. Il explique les plans initiaux d’Obama pour la guerre en Afghanistan et présente une démarcation dans la stratégie et le style politique.

Le chapitre treize : « A Dark Pit of Endless Money » explique le projet d’édification de la nation en Afghanistan en termes administratifs. Il dépeint les agences américaines qui ont supervisé les efforts de reconstruction dans le pays. Whitlock fait un clin d’œil à la corruption spectaculaire des dépenses militaires et à l’enrichissement des entrepreneurs américains travaillant en Afghanistan.

Chapitre quatorze : De l’ami à l’ennemi dresse le portrait de la présidence d’Hamid Karzaï et explique les manœuvres politiques de ce personnage assez couché qui dépend de l’occupation américaine pour rester au pouvoir. La situation politique de Karzaï devient de plus en plus intenable alors que l’armée américaine commet une série d’atrocités horribles en Afghanistan. Cela oblige Karzai à adopter une posture plus conflictuelle avec ses seigneurs impériaux.

Chapitre quinze : Consommé par la corruption décrit l’effondrement du système financier afghan, qui est marqué par de nombreuses couches de corruption. La figure de Sherkhan Farnood joue un rôle clé dans cette histoire.

Chapitre seize : En guerre contre la vérité décrit la détérioration de l’effort de guerre américain en Afghanistan. En dépit d’être politiquement soutenu par l’assassinat d’Oussama ben Laden, le président Obama trouve ses plans de guerre aigris par les faits sur le terrain.

Chapitre dix-sept: L’ennemi intérieur développe des cas de fragmentation par des membres de l’armée afghane, attribués à l’infiltration des talibans dans l’armée afghane et la police nationale.

Chapitre dix-huit : La grande illusion explore la déclaration de l’administration Obama sur la fin de la mission de combat en Afghanistan. Malgré ce virage légaliste, les États-Unis conservent 10 800 soldats d’occupation américains dans le pays, servant théoriquement dans une mission de maintien de la paix et de conseil. Ceci, selon le président, mais contredisant la réalité observable, amène la guerre américaine en Afghanistan à une « ‘conclusion responsable’ » (207).

Chapitre dix-neuf: Trump’s Turn tente de comprendre la manière dont l’administration Trump a abordé la guerre. Whitlock parodie le comportement de Trump et présente un récit très contradictoire des machinations qui ont eu lieu au sein du cabinet du président.

Chapitre vingt : Le narco-État revient sur la discussion du commerce de l’opium en Afghanistan. Whitlock se penche sur l’opération Iron Tempest de l’armée, qui visait à éradiquer la culture du pavot sans succès.

Chapitre vingt et un : Parler avec les talibans raconte les négociations qui ont conduit au retrait des troupes américaines d’Afghanistan. Ces négociations, organisées par le royaume du Qatar, ont finalement abouti à une concession de la défaite américaine et à un engagement du président Trump de retirer complètement toutes les troupes américaines d’Afghanistan d’ici mai 2021. Le successeur de Trump, le président Biden ne renie pas cet engagement et le la guerre se termine heureusement par une humiliation ultime pour les États-Unis en 2021 après deux décennies de massacres insensés.



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