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La version suivante du livre a été utilisée pour créer ce guide d’étude : Mailhot, Terese Marie. Baies de coeur : Un mémoire. Doubleday Canada, 2018. Édition à couverture rigide.
Heart Berries s’ouvre sur une introduction du célèbre écrivain autochtone Sherman Alexie, qui était le professeur de Terese. Il fait l’éloge de son travail et contextualise les mémoires à venir comme un morceau de poésie et une œuvre de méditation.
Terese écrit que son histoire a été maltraitée et qu’au fil du temps, elle a appris à la raconter pour elle-même. Elle écrit sur sa mère, sa grand-mère et certaines de ses expériences de petite enfance avant d’écrire qu’elle s’est mariée à l’adolescence dans l’espoir de trouver un foyer sûr. Cependant, une autre tragédie a suivi. Sa mère est décédée, elle a divorcé et son mari a obtenu la garde complète de leur fils aîné. Avec leur deuxième fils en bas âge, pour lequel son ex-mari ne montrait aucun intérêt, Terese a fait ses valises et s’est éloignée.
Terese écrit ensuite sur les premiers jours de sa relation avec un homme nommé Casey qui a quitté sa petite amie pour elle. Des éléments de leur relation sont malheureux et Terese sent qu’elle manque d’autonomie et d’agence. Cependant, elle ne veut pas être sans lui. En même temps, elle sait qu’elle ne va pas bien.
Dans le chapitre suivant, Terese écrit à Casey depuis un bâtiment de services de santé comportementale où elle s’est engagée à suivre un traitement. Leur relation est terminée mais elle le veut toujours. Elle réfléchit à d’autres aspects de leur vie ensemble et à son incapacité à la comprendre et à l’accepter telle qu’elle est. En thérapie de groupe, elle médite sur l’idée d’estime de soi et se souvient de sa mère, de la pauvreté de son enfance et de la gravité d’être une femme indienne. Elle raconte une histoire de son enfance dans laquelle sa mère a collaboré avec Paul Simon sur le développement d’une nouvelle comédie musicale. Terese dit que l’histoire de sa mère a été perdue dans le processus et que son personnage était représenté sur scène de manière stéréotypée. Avant d’être libéré du traitement, Terese reçoit un diagnostic de trouble de stress post-traumatique, un trouble de l’alimentation et bipolaire II.
Terese et Casey ravivent leur relation sexuelle mais il insiste sur le fait qu’ils ne peuvent pas être dans une relation émotionnelle ou amoureuse d’aucune sorte. Terese a du mal à gérer ses amitiés avec d’autres femmes et continue de voir un thérapeute en dehors de l’institution tout en postulant et en étant acceptée dans un programme de maîtrise en beaux-arts à l’Institute of American Indian Arts. Enfin, elle donne un ultimatum à Casey et ils recommencent leur relation amoureuse. Leur relation est très tumultueuse et Terese ne tarde pas à tomber enceinte.
La grossesse est extrêmement difficile pour la santé mentale de Terese car elle doit arrêter ses médicaments pour la santé du bébé. Elle et Casey se battent, elle devient violente, est suicidaire et envisage de se faire avorter. Cependant, ils s’en sortent et leur enfant est né.
Terese enchaîne ensuite sur une discussion sur son père qui est parti quand elle était jeune. Il était violent, alcoolique et présumé délinquant sexuel. Terese écrit à propos de renouer brièvement avec son père à l’âge adulte, avant sa mort, et tente de le voir comme un homme plutôt que comme un monstre. Elle écrit ensuite sur le fait de se sentir « comme une squaw » et cet aspect de son rapport à son identité culturelle (92). Dans des paragraphes alternés, elle écrit sur son mariage avec son premier mari et l’évolution continue de sa relation avec Casey qui aboutit à leur mariage.
Dans le chapitre suivant, Terese envisage de quitter son nouveau mari et écrit sur les raisons et les motivations pour lesquelles tant de jeunes femmes autochtones, y compris elle-même, quittent la maison. Soudain, alors qu’elle se trouve un jour dans un café, Terese est confrontée à un souvenir refoulé dans lequel son père l’a agressée sexuellement lorsqu’elle avait cinq ou six ans. Elle doit maintenant comprendre comment gérer et traiter ce nouveau traumatisme.
Le temps passe et Terese obtient son diplôme de maîtrise en beaux-arts. Au milieu de ce succès, elle réfléchit davantage sur les thèmes de la honte, de l’identité culturelle et des traumatismes hérités. Elle médite sur la nature de son chagrin et de sa douleur et a le sentiment qu’elle l’a finalement maîtrisée dans une certaine mesure. Il semble que la santé mentale de Terese et sa relation avec Casey se soient globalement améliorées depuis leur mariage et son diplôme.
Dans le court chapitre final, Terese s’adresse à sa mère décédée dans le but de communiquer plus efficacement avec elle par le biais d’un langage symbolique. Elle pose plusieurs questions à sa mère sur la vie et la mort avant de choisir de laisser le corps de sa mère dans la terre.
La suite est une entrevue questions-réponses entre Terese Marie Mailhot et Joan Naviyuk Kane. À travers les questions de Kane et les réponses de Mailhot, les lecteurs en apprennent davantage sur le contexte culturel et littéraire dans lequel Mailhot écrit ainsi que sur certaines de ses motivations pour écrire le livre.
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