Jack Kerouac écrit de nombreux livres autobiographiques avec des références à peine voilées à des cohortes célèbres telles qu’Alan Ginsberg, Neal Cassady et William Burroughs. Desolation Angels suit le même schéma, détaillant la montée des poètes de la Beat Generation.
Kerouac est Jack Duluoz, un guetteur d’incendie sur Desolation Peak dans le nord-ouest de l’État de Washington. Le travail était un choix que Duluoz a fait afin de se donner l’opportunité de se taire, d’écrire et de découvrir les vérités de l’univers. On écrit beaucoup sur les découvertes faites sur la montagne et sur la prise de conscience qu’on ne peut pas marier une vie de solitude tout en ayant des expériences intéressantes dans le monde réel.
Une fois la saison des incendies terminée, Duluoz retourne à San Francisco, cœur du mouvement Beat et résidence actuelle de ses collègues poètes. Le groupe se réunit pour des virées de conversation et de chaos ivre avant que Duluoz ne se dirige vers sa deuxième destination préférée, le Mexique. Au Mexique, Duluoz retrouve un vieil ami qui s’intéresse à la philosophie et qui est complètement dépendant à la morphine au point d’être invalide. Les autres poètes rejoignent Duluoz au Mexique, ce qui le ravit et l’attriste à la fois. Après que les Beats aient fait un petit tour de Mexico, il est décidé qu’il est temps de reprendre la route et de rentrer à New York.
De retour à New York, le célèbre poète Irwin convainc Duluoz de nouer des liens avec le monde littéraire et de partager le travail qui a été caché dans des boîtes et des tiroirs de bureau de San Francisco à New York. Duluoz acquiesce finalement et son premier roman, Sur la route, est publié.
Au fil du temps, chacun des principaux poètes est publié et réalise un succès qu’il n’aurait jamais cru possible. La Beat Generation influence enfin la culture américaine d’une manière qu’on ne pensait pas possible.
L’histoire suit les poètes à travers leurs épreuves individuelles, leurs tribulations et leurs triomphes tels que vus par Duluoz. Les histoires d’amour torrides, les road trips internationaux fous, les frénésies d’écriture alimentées par la drogue et l’alcool et les réalisations de soi créent des personnages mémorables qui sont encore plus mémorables parce que l’histoire est vraie.