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Situé dans la Rhodésie à prédominance blanche des années 1960, Tambu commence son histoire en parlant du voyage quotidien de son frère vers et depuis l’école de mission. Elle dit qu’il se plaint du voyage – en particulier de la marche de trois kilomètres entre la gare routière et leur domicile – et qu’elle pouvait parler sans fin de tout ce qu’il y avait à faire pendant cette promenade et à quel point elle l’aimait. Les enfants, y compris Tambu, étaient rarement soumis à des restrictions et étaient autorisés à nager dans les piscines.
Tambu est la fille aînée et le deuxième enfant aîné de Ma’Shingayi et Babamukuru. Son oncle, connu de Tambu sous le nom de Babamukuru, est le patriarche de la famille et un bienfaiteur important, fournissant de l’argent, de la nourriture et une éducation à la famille immédiate de Tambu. La famille est obligée de montrer une sincère gratitude pour les cadeaux, et Tambu pense que son oncle est aussi proche d’un ange qu’une personne terrestre peut l’être.
En tant que jeune enfant, Tambu travaille dur pour sa famille, assumant les tâches ménagères avant qu’on le lui demande, dans le but d’alléger le fardeau de sa mère. Son frère, Nhamo, va à l’école, d’abord à quelques pas, puis dans une école missionnaire dont Babamukuru est le directeur. À un moment donné, l’éducation de Tambu est suspendue parce qu’il n’a pas d’argent pour payer les frais de scolarité. Lorsque cela se produit, elle défriche un champ, plante du maïs et vend les épis pour financer ses études. À la mort de Nhamo, Tambu est envoyé à l’école. Le but de l’éducation n’est pas d’éduquer, mais de permettre au membre instruit de la famille de contribuer à subvenir aux besoins du reste de la famille. Alors que Tambu réfléchit à son rôle à l’âge adulte, elle imagine pouvoir acheter de jolis vêtements pour ses jeunes sœurs et fournir une nourriture adéquate pour que sa mère grandisse forte et en bonne santé. Tambu étudie dur et gagne une place au Sacré-Cœur, une école dirigée par des religieuses pour poursuivre ses études.
En chemin, Tambu rompt presque sa relation avec sa mère en admettant qu’il n’y a plus rien à la ferme pour elle, mais Tambu développe un lien avec sa cousine, Nyasha. C’est grâce au mouvement constant de Nyasha que Tambu apprend à remettre en question les choses dans sa vie et à tester les limites que les autres lui imposent. Elle apprend que sa tante, Maiguru, a autant d’éducation que son Babamukuru et qu’elle ne garde aucun de ses gains pour elle-même, et que l’éducation de Maiguru n’est jamais vantée comme celle de Babamukuru. Tambu ne semble pas remettre en question la raison, mais admet plus tard que tout ce qu’elle a vu lorsqu’elle était enfant était une graine, plantée et attendant le bon moment pour pousser.
L’histoire de Tambu est celle de la façon de grandir et d’apprendre, même si son étape la plus importante dans le processus de passage à l’âge adulte se produit à la fin du livre. Elle réalise beaucoup de choses sur sa famille, son monde et elle-même.
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