lundi, décembre 23, 2024

Résumé de Still I Rise et description du guide d’étude

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La version de ce poème utilisée pour créer ce guide d’étude apparaît dans : Angelou, Maya. L’intégrale des poèmes de Maya Angelou. Maison aléatoire, 1994.

Notez que les citations entre parenthèses dans le guide font référence aux lignes du poème dont les citations sont tirées.

« Still I Rise » est un poème de 43 vers composé de sept quatrains et de deux strophes finales écrit par Maya Angelou. Le poème a été publié en 1978 dans le cadre du troisième corpus d’œuvres d’Angelou, Et je me lève toujours. « Still I Rise » est le poème inaugural de la troisième partie de Et je me lève toujours. Dans la première partie, Touchez-moi, la vie, pas doucement, Angelou présente les façons dont la vie l’a touchée tout en explorant à la fois les complexités de l’amour et la force des femmes face à la maltraitance. Dans la deuxième partie, En voyageant, Angelou emmène le lecteur à travers le sud des États-Unis, révélant les conditions dans lesquelles elle a été élevée, examinant des problèmes tels que la toxicomanie, la maltraitance des enfants, la parenté et les conditions des Afro-Américains mal desservis dans le sud et le centre-ville. Dans la troisième partie, Et je me lève toujours, Angelou reflète le thème de la force trouvé dans la première partie, soulignant que malgré tout ce qu’elle a traversé, elle s’élèvera et persévérera. « Still I Rise » a servi de mantra à beaucoup en raison de l’attrait universel de son thème.

« Still I Rise » commence avec l’orateur confrontant un antagoniste sans nom pour les torts qu’ils lui ont causés. Dans les premières lignes du poème, l’orateur révèle la nature de son antagoniste et met en évidence certaines des injustices que son antagoniste peut viser à son égard. Certains de ces actes incluaient de fausses déclarations sur l’identité réelle de l’orateur ainsi que des actes de violence physique visant l’orateur : « Vous pouvez m’écrire dans l’histoire / Avec vos mensonges amers et tordus / Vous pouvez me piétiner jusque dans la saleté » (1 -3). Cependant, malgré cette adversité, l’orateur dès le début du poème est convaincu de sa force et de sa capacité à surmonter tout obstacle. Ce thème persiste tout au long du poème. Malgré toutes les tentatives de faire taire, de restreindre et d’effacer l’orateur, elle reste, chaque strophe qui passe renforce, fait écho et amplifie les mots et le message de l’orateur.

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