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Le poème « Rapture » de Joelle Biele apparaît dans son premier recueil, Été blancpublié en 2002. Le poème est apparu pour la première fois en version imprimée dans le Examen de l’Iowa en 2001. Ce poème est représentatif de la capacité créative de Biele à transformer le lieu commun en quelque chose de merveilleux, à sélectionner les mots précis qui décrivent une émotion ou un moment ou toute la nature d’une manière que le lecteur n’aurait peut-être pas envisagée auparavant.
« Rapture » est composé de trente vers, chacun tentant d’exprimer ou de personnifier un exemple du titre du poème. Alors que beaucoup de gens peuvent réserver ce mot pour décrire quelque chose d’incroyablement rare ou même sacré, Biele montre ici que le pur bonheur peut être trouvé dans pratiquement chaque minute de la vie quotidienne, chaque son, chaque goût, chaque chose dans les mondes naturels et moins naturels. Biele cherche à révéler le potentiel d’extase dans des choses qui sont souvent négligées ou ignorées. Le ravissement, suggère-t-elle, est partout, mais les êtres humains doivent apprendre à le reconnaître.
Bien que le nom de Biele soit encore relativement nouveau et peut-être peu connu des lecteurs de poésie américains contemporains, un poème tel que « Rapture » fournit une bonne introduction à l’ensemble de ses premiers travaux. Son énergie, sa perspicacité et ses détails exquis démontrent l’amour simple de Biele pour la langue et son talent brut pour l’utiliser.
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