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La version suivante de ce livre a été utilisée pour créer le guide : Didion, Joan. Miami. Millésime, 1998.
Miami est divisé en 4 parties et seize chapitres au total, mais ce guide divise le livre en cinq sections pour faciliter le résumé et l’analyse.
La première section de ce guide traite des chapitres 1 à 4. Didion fournit une description préliminaire de l’environnement tropical de Miami et de l’influence culturelle cubaine, notant en particulier le nationalisme des exilés cubains de Miami et leur commémoration collective de ce qu’ils considèrent comme le fiasco de la baie. de l’invasion des porcs. Elle plonge ensuite plus profondément dans une analyse de l’environnement de Miami, à la fois physique et émotionnel, soulignant sa variabilité, ses hypocrisies, et pourtant son sentiment relatif de sécurité pendant son temps de travail là-bas, malgré la connaissance des nombreuses tensions raciales et de classe existant dans la ville. Didion passe un certain temps à résumer les incidents les plus violents de tensions raciales dans la ville, en se concentrant sur l’affaire McDuffie et les acquittements qui ont déclenché des manifestations et des attaques.
La deuxième section de ce guide aborde les chapitres 5 à 7. Didion se concentre sur le rôle important joué par les Cubains de Miami dans le développement de la ville, à la fois politique et culturel, mais note les tensions entre les exilés cubains qui constituent la majorité de la population et les Miamians anglo-américains qui se sentent néanmoins plus en droit de la ville et de son façonnage. Didion prend également soin de souligner les nombreuses divisions au sein de la communauté cubaine en exil elle-même, sa position sur le communisme jouant un rôle déterminant dans le «camp» dans lequel on est accepté ou rejeté.
La troisième section de ce guide traite des chapitres 8 à 10. Didion explore la violence exercée par les exilés cubains les uns contre les autres dans leurs batailles politiques et idéologiques. Les exilés favorables à la normalisation des relations entre Cuba et les États-Unis sont souvent confrontés aux pires intimidations, puisqu’ils sont considérés durant cette période comme des traîtres à leur cause natale.
La quatrième section de ce guide traite des chapitres 11 à 13, Didion mettant ensuite en évidence les exilés cubains vivant à New York et à Washington et comment leurs vies s’entremêlent avec celles des Cubains à Miami. Elle porte également son attention sur la manière dont Washington, en tant que centre politique des États-Unis, a simultanément collaboré et agi comme un obstacle aux militants cubains exilés de Miami. Le président Reagan, en particulier, a semblé essayer de «jouer» les deux côtés de la cause cubaine et de donner la priorité à l’agenda de Washington par rapport aux promesses faites à la communauté cubaine.
La cinquième section de ce guide traite des chapitres 14 à 16. Didion explore plus en détail les interactions de Washington avec Miami – en particulier, la partie cubaine de Miami – et l’héritage souvent amer et enchevêtré de cette relation au moment de sa rédaction. La « trahison » de la cause cubaine par Washington est un point sensible pour de nombreux Cubains, un point qui remonte à des décennies et auquel Didion ne voit aucune solution claire. Elle met en évidence la nature cyclique du sort et du combat des Cubains de Miami.
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