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M. Blue, écrit en 1928, est un livre de Myles Connolly sur un jeune homme nommé M. Blue. M. Blue désobéit à l’establishment, mais il est un fervent catholique romain, déterminé à pousser les principes moraux et les pratiques spirituelles chrétiennes à l’extrême. Pour M. Blue, le christianisme n’est pas quelque chose qui constitue une simple exigence morale ; c’est la joie et le défi suprêmes de sa vie.
Le narrateur du livre n’est jamais nommé, mais c’est un ami plus âgé de M. Blue qui l’admire profondément mais le trouve extrêmement imprudent, imprudent et peu pratique. Le narrateur est un homme aisé, qui aime les affaires et qui a la tête froide. M. Blue et le narrateur remettent constamment en question leurs valeurs et leurs formes de vie tout au long du livre.
Le narrateur a rencontré M. Blue par l’intermédiaire d’un homme nommé Stevens qui gérait une tour à New York connue sous le nom de Tootsall Building. À l’époque, M. Blue vivait sur le toit, à l’air libre lorsqu’il ne pleuvait pas, ou dans une tente. Il n’avait pas vraiment d’argent et faisait des petits boulots pour gagner sa vie. M. Blue, a déclaré Stevens, était l’homme le plus heureux qu’il ait jamais rencontré dans sa vie – gentil à l’extrême, les yeux brillants, plein de zèle chrétien et désireux de servir l’humanité de toutes les manières possibles. Mais plus encore, M. Blue était une sorte d’artiste qui croyait à la créativité, à la gloire et aux actes nobles. Pour lui, être prudent était antichrétien et il a vécu une vie qui tentait de le prouver.
L’histoire n’a pas vraiment d’intrigue à proprement parler. Il s’agit surtout d’un portrait de personnage que le narrateur dresse de M. Blue. Le narrateur explique comment ils se sont rencontrés, les histoires que Blue lui a racontées et les leçons qu’il a apprises de lui. Il évoque certaines de leurs rencontres, la disparition de M. Blue, sa donation de sa fortune de deux millions de dollars (en dollars de 1928) et sa vie sur le toit du Tootsall Building. M. Blue était un chrétien contre le monde, prêchant l’amour, la gentillesse et l’audace, quel qu’en soit le prix.
Mais au fil du temps, M. Blue s’inquiète de son bonheur, du fait qu’il ne pourrait pas le gagner s’il le devait et que le ciel allait exiger un prix. Après cela, il devient encore plus extrême dans sa pratique chrétienne. Il a déjà fait vœu de pauvreté mais décide de vivre parmi les plus pauvres parmi les pauvres, en les aidant à éveiller leur âme. Son objectif est de créer un groupe d’« Espions de Dieu » voués à raviver l’amour dans le cœur des hommes. Le narrateur est étonné mais ne croit pas que M. Blue réussira. Il a un certain succès auprès d’un groupe d’hommes de la scierie, mais lorsqu’il tente de sauver l’un de leurs vies, il est heurté par une voiture et hospitalisé. À l’hôpital, ses admirateurs lui rendent visite mais avant qu’il puisse rentrer chez lui, il contracte une embolie et meurt.
Le narrateur est désemparé, se demandant pourquoi un homme aussi bon, sain et vrai que M. Blue mourrait alors que tant de canailles étaient laissées en vie.
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