mardi, novembre 12, 2024

Résumé de Lycidas et description du guide d’étude

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La version suivante de ce poème a été utilisée pour créer ce guide : Milton, John. « Lycidas. » Les Grands Travaux. Presse universitaire d’Oxford, 2008. 39-44. Imprimer.

Notez que les citations entre parenthèses font référence au numéro de ligne dans lequel la citation apparaît.

« Lycidas » commence par une courte préface que John Milton a ajoutée en 1645. Elle se lit comme suit : « Dans cette monodie, l’auteur déplore un savant ami, malheureusement noyé lors de son passage de Chester sur les mers d’Irlande, 1637. Et par occasion prédit la ruine de notre clergé corrompu alors en son apogée » (39).

Au début du poème proprement dit, l’orateur annonce qu’il retourne vers les lauriers et les myrtes pour pleurer son ami et compagnon berger Lycidas. Il supplie la nature et les muses de l’aider à pleurer Lycidas, car ils ont grandi ensemble et ont servi de bergers dans le même champ. Il réfléchit brièvement à la façon dont ils chanteraient des chansons ensemble avant de réaliser à nouveau que Lycidas est parti. Il s’adresse directement à Lycidas en disant que la nature ne se déplacera plus vers son chant.

L’orateur demande alors aux nymphes où elles se trouvaient lorsque Lycidas était en train de mourir et pourquoi elles ne sont pas intervenues. Mais il comprend que rien n’aurait pu être fait pour empêcher la mort de Lycidas. Il s’interroge sur l’utilité du métier de berger alors que son ami est mort avant d’avoir pu devenir célèbre. Mais Apollon (apparaissant sous le nom de Phoebus, son nom romain) dit à l’orateur que la renommée sur terre est secondaire à la vie éternelle au ciel. L’orateur continue cependant à se demander qui est responsable de la mort de son ami, faisant appel à un certain nombre de personnalités du monde antique.

Une personne à laquelle s’adresse l’orateur est saint Pierre, connu comme « le pilote du lac galiléen » (109). Saint Pierre condamne les bergers corrompus qui ne nourrissent qu’eux-mêmes et ne nourrissent pas le troupeau. Il les accuse de ne pas savoir s’occuper des moutons, qui finissent par mourir entre leurs mains. Saint Pierre menace de châtier ces bergers indignes au jugement dernier.

L’orateur revient à son plaidoyer auprès de son entourage et demande aux vallées d’envoyer toutes leurs fleurs funéraires pour aider à décorer le cercueil de Lycidas. Cela, dit l’orateur, l’aidera à « interposer un peu d’aisance » pendant qu’il pleure son ami (152). L’orateur sait cependant que Lycidas n’est pas dans un cercueil mais plutôt éparpillé de diverses manières à travers la mer. Il demande aux dauphins d’aider à guider le corps de Lycidas après sa mort.

À la fin du poème, l’orateur demande à ses compagnons bergers de ne plus pleurer. Il compare Lycidas au soleil levant et couchant, disant que « bien qu’il soit englouti sous le sol aqueux », il ressuscitera au ciel (167). L’orateur demande aux saints de divertir Lycidas alors qu’il profite du butin de la vie éternelle.

Dans les dernières lignes du poème, la perspective se déplace vers l’extérieur et un autre orateur raconte: « Ainsi chantait le grossier swain aux chênes et aux rigoles » (185). Le nouvel orateur décrit les actions de l’orateur précédent, disant qu’il a admiré son environnement une fois de plus avant de tirer son manteau autour de lui et de partir pour de « nouveaux pâturages » (193).

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