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« Hymne à la Beauté » vient de la section « Spleen et Idéal » du livre de Charles Baudelaire Les Fleurs du Mal (qui se traduit en anglais par Fleurs du mal ou Fleurs de souffrance). Publié pour la première fois en 1857, il est devenu l’un des recueils de poésie les plus lus et les plus influents jamais sortis de France. Comme Edgar Allan Poe, dont les œuvres que Baudelaire a contribué à présenter au public français à travers de nombreuses traductions et des œuvres critiques, Baudelaire a vu l’univers avec une sensualité aiguë qui penchait vers une fascination pour le surnaturel et le macabre. En même temps, ses propres théories esthétiques l’amènent à la conclusion que la beauté, aussi mystérieuse et inconnaissable soit-elle, est la principale préoccupation de l’artiste. Baudelaire est considéré comme un précurseur du mouvement symboliste français qui s’est développé des décennies plus tard, à la fin du XIXe siècle, et comprenait Stéphane Mallarmé, Arthur Rimbaud et Paul Verlaine. La plupart des poésies modernes et postmodernes ont été influencées d’une manière ou d’une autre par le symbolisme.
Le livre de Baudelaire Les Fleurs du Mal a fait l’objet d’une censure gouvernementale lors de sa publication. Baudelaire et son éditeur ont été contraints de payer de lourdes amendes pour des poèmes jugés indécents. De plus, six poèmes ont été retirés de la deuxième édition, publiée en 1861. Après la mort du poète, plusieurs éditions ont été publiées avec différentes configurations de ses poèmes. « Hymn to Beauty » est inclus dans la récente compilation Charles Baudelaire : Poèmes complets par Routeledge, traduit du français par Walter Martin.
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