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La nouvelle d’Arthur C. Clarke « The Star » est parue dans le magazine de science-fiction Infini Science-Fiction en 1955. Il a été réimprimé dans un recueil de nouvelles de Clarke intitulé L’autre côté du ciel en 1958. Dans son introduction à cette collection, Clarke a noté qu’il avait écrit l’histoire pour un concours au London Observateur sur le sujet « 2500 AD. » « Je me suis rendu compte que j’avais déjà un thème sous la main. L’histoire a été écrite dans un état d’émotion inhabituellement intense; il va sans dire qu’elle n’a même pas été placée parmi les ‘aussi rans' ». L’histoire traite de thèmes traités dans un œuvre de HG Wells également intitulée « The Star » (1897). Dans l’histoire de Wells, la collision d’un planétoïde avec Jupiter et la destruction de cette planète rappellent à la race humaine qu’elle aurait tout aussi bien pu être détruite. L’histoire de Clarke place de la même manière la race humaine dans un contexte intergalactique qui suggère que la planète Terre et ses habitants ne sont peut-être pas si importants dans le schéma cosmique des choses.
La religion, et en particulier la foi religieuse, sont des thèmes centraux dans « The Star ». Le récit est le monologue intérieur du personnage central, un astrophysicien jésuite. Il est à bord d’un vaisseau spatial en mission pour enquêter sur les causes d’une supernova dans une galaxie lointaine. Lui et le reste de l’équipage découvrent les artefacts d’une civilisation hautement développée, soigneusement préservés sur la seule planète qui reste en orbite autour de la supernova. Sachant que toute vie serait anéantie lorsque leur soleil deviendrait une supernova, cette race d’êtres sensibles a laissé une trace de qui ils étaient et de ce qu’ils ont accompli. Les images, sculptures, musiques et autres reliques d’une race très humaine vouée à la destruction dépriment l’équipage et les scientifiques enquêteurs, qui sont loin de chez eux et seuls. Ce que le narrateur a appris mais pas encore communiqué aux autres, c’est que la supernova qui a détruit cette civilisation était l’étoile de Bethléem, qui brûlait vivement dans le ciel pour annoncer la naissance de Jésus-Christ. Sa découverte l’a amené à réexaminer et à remettre en question sa propre foi.
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