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La version de ce poème utilisée pour créer ce guide apparaît dans : Siddal, Elizabeth and Serena Trowbridge (Ed.). My Ladys Soul: Les poèmes d’Elizabeth Eleanor Siddall. Secrets victoriens, 2018.
Notez que les citations entre parenthèses dans le guide renvoient au numéro de ligne d’où provient la citation.
Elizabeth Siddal était une artiste, poète et modèle d’artiste anglais. Elle est surtout connue pour avoir modelé un certain nombre d’œuvres d’art préraphaélites, mais son mari, Dante Gabriel Rossetti, lui a finalement interdit de modeler pour d’autres artistes et l’a revendiquée exclusivement comme sa muse. Siddal était une artiste à part entière, produisant des œuvres qui correspondaient elles-mêmes aux styles et aux thèmes du mouvement préraphaélite. Sa poésie n’a été publiée qu’après sa mort (elle est décédée jeune, à 32 ans) et les critiques sont divisées sur ses mérites. Certains voient sa poésie comme manquant de complexité, tandis que d’autres la louent pour sa simplicité et son sérieux. Christina Rossetti, la belle-sœur de Siddal et collègue poétesse, a décrit son travail comme « presque trop désespérément triste pour être publié en masse ».
« Dead Love » est l’un des poèmes les plus connus de Siddal. Il est composé de trois strophes de six vers chacune. Dans le poème, une oratrice anonyme avertit son destinataire de ne pas être trop affecté par un amour perdu ou « mort » (1). Selon l’orateur, l’amour est souvent faux et inconstant, et répond rarement aux attentes que les gens placent en lui. Elle encourage donc son destinataire à rejeter l’idée que le véritable amour puisse exister dans la vraie vie.
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