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Jésus-Christ est unique parmi tous les chefs religieux et les enseignants éthiques de l’histoire du monde en ce que son héritage n’a jamais été destiné à être simplement dans ce qu’il a dit ou parlé, mais surtout dans sa vie et, plus important encore, sa mort. Sa venue était prédite par les Écritures juives et même, dans une certaine mesure, par les écrits des païens du monde entier. Il était la deuxième personne de la Divine Trinité incarnée dans une nature humaine qui lui a été donnée gratuitement par la Vierge Marie et est né dans la ville de Bethléem en Israël, qui était alors gouvernée par Rome. Mis à part quelques années passées en Égypte pour éviter d’être tué par le roi Hérode, qui craignait que les prophéties du Messie ne se réalisent, le début de la vie du Christ était calme et largement inconnu.
Son ministère public ne commença qu’à l’âge de trente ans. Jean-Baptiste avait alors commencé son ministère, appelant les gens à se repentir de leurs péchés et offrant un baptême rituel dans l’eau. Christ, bien qu’il était sans péché, a pris ce baptême, montrant sa sympathie avec l’état pécheur de l’humanité. Il commença alors à prêcher les thèmes qui imprégnaient son ministère et les confirma par de nombreux miracles. L’homme, enseignait-il, avait désespérément besoin d’être sauvé de ses péchés et avait besoin de se tourner vers Dieu pour recevoir le pardon. Une vie de vrai bonheur pourrait être gagnée en abandonnant les choses que le monde apprécie tant, comme la richesse, le pouvoir et le statut. Bien qu’il ait prêché ces idées avec force, peu de gens l’ont compris. Il était le Messie et les gens espéraient un chef politique qui les libérerait de la domination oppressive des Romains. Son but, cependant, était d’établir un royaume spirituel.
Les intérêts mondains du peuple sont aussi la raison pour laquelle peu, y compris ses propres apôtres, l’ont compris quand il a dit qu’il devait mourir. S’il était vraiment le Fils de Dieu, personne ne pourrait comprendre pourquoi il se laisserait torturer et tuer. Souffrir et mourir, cependant, était le but de sa venue sur terre, plus encore que son enseignement, car en souffrant et en mourant, il rachèterait l’humanité de ses péchés. Ainsi, après trois ans de prédication, il fut fait prisonnier par les autorités du temple qui persuadèrent Ponce Pilate, le gouverneur romain, de le crucifier. Son corps mort resta trois jours dans le tombeau, et ses disciples se dispersèrent, ne croyant pas sa parole qu’il ressusciterait des morts en trois jours. Mais trois femmes trouvèrent son tombeau vide trois jours après sa mort ; il avait dit la vérité. Pendant quarante jours, il resta avec les Apôtres, leur conférant le pouvoir de régner sur son Église et de pardonner les péchés. Quand son temps a été fait, il a quitté la Terre et est monté au Ciel, mais sa présence est restée dans son Corps Mystique, l’Église.
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