[ad_1]
Ce roman historique, qui se déroule dans l’Amérique d’avant la révolution (du milieu à la fin des années 1600) est l’histoire d’une jeune fille puritaine et de sa relation à long terme avec un garçon indigène. Sur une période de plusieurs années, alors qu’il relate les luttes des deux amis pour déterminer et conserver leurs identités individuelles, le récit explore également des questions thématiques liées à la nature de Dieu et à l’interrelation entre le péché, la rédemption et la renaissance.
Chacune des trois parties du roman commence par une brève explication de la situation de Bethia à ce moment particulier de sa vie, et est suivie d’une narration détaillée, chapitre par chapitre, de la façon dont elle est arrivée dans cette situation.
La première partie commence par la description de Bethia de rester éveillée et d’écouter son père (pasteur Mayfield) et son frère (Makepeace) se demander s’il est sage d’amener un garçon nommé Caleb dans leur foyer, Makepeace affirmant que Caleb n’est guère mieux qu’un païen et Mayfield en faisant valoir qu’il n’y a pas de meilleure façon d’enseigner à de telles personnes la voie chrétienne. Bethia décrit comment elle et Caleb sont devenus de bons amis et comment elle est à la fois excitée et effrayée à l’idée qu’il emménage dans sa maison. L’action narrative dans cette partie du livre explore également les tensions entre les Blancs et les autochtones sur l’île où Bethia et sa famille ont élu domicile, et les tensions au sein de sa propre famille. À la fin de la première partie, Caleb et son ami Joel se sont familiarisés avec les études chrétiennes et se sont déclarés chrétiens, supprimant leur identité d’origine (qui, cependant, refait surface occasionnellement). Pendant ce temps, la famille de Bethia a subi plusieurs pertes graves et Bethia en est venue à se considérer comme une dangereuse pécheresse.
La deuxième partie commence par la description par Bethia de sa nouvelle situation, en tant que femme de ménage pour une école d’adolescents à Cambridge, dans le Massachusetts. Elle décrit comment les pertes de la partie 1, combinées aux nouvelles pertes qu’elle décrit dans la partie 2, l’ont amenée, Makepeace, Caleb et Joel, dans la situation malheureuse dans laquelle ils se trouvent maintenant. Au cours de plusieurs mois, Caleb et Joel s’impliquent profondément dans leurs nouvelles études, les aspects natifs de leur personnalité et de leur identité n’apparaissant qu’occasionnellement. Pendant ce temps, Bethia se lie avec Samuel, le fils du directeur de l’école, et une jeune femme autochtone, Anne, vient étudier. La réflexion rapide et l’action déterminée de Bethia évitent un scandale lorsqu’Anne fait une fausse couche, ayant apparemment été enceinte d’un homme blanc de statut social et politique considérable. Dans le même temps, Bethia devient l’objet d’un intérêt amoureux de la part de Samuel, le fils du directeur de l’école, et cède à un moment donné à son désir physique pour lui, croyant ensuite une fois de plus avoir cédé aux désirs sataniques. De plus, son amitié avec Caleb s’approfondit.
La troisième partie commence par les commentaires de Bethia, désormais âgée, sur son bonheur une fois qu’elle est revenue sur l’île plusieurs décennies auparavant et a fondé une famille avec Samuel. Elle décrit comment elle et Samuel se sont mariés, sont allés en Europe pour permettre à Samuel d’étudier la médecine et ont eu un fils, le premier de plusieurs descendants. Bethia décrit également comment les études de Caleb et Joel transcendaient les jugements définis par la race et les attitudes négatives qui leur étaient imposées par leurs enseignants et leurs camarades, les hissant au sommet de la classe. Peu de temps avant l’obtention de leur diplôme, Joel est assassiné par des indigènes irrités par les incursions blanches sur leur territoire et leur spiritualité, tandis que Caleb tombe malade de la tuberculose. Une visite désespérée faite par Bethia à l’oncle de Caleb, un puissant pawaaw (médecin) lui donne les moyens de donner à Caleb une mort confortable. Le livre se termine en décrivant l’affirmation de Bethia selon laquelle l’histoire qu’elle a racontée dans ces pages n’est pas une histoire de triomphe, mais une lamentation.
Une brève postface de l’auteur décrit les sources historiques qu’elle a utilisées comme base pour le livre.
[ad_2]
Source link -2