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La version suivante du roman a été utilisée pour créer ce guide d’étude : Szabó, Magda. La porte. Classiques du NYRB ; Tra Edition, 27 janvier 2015.
Écrit sous forme de confessionnal par une femme qui croit être responsable de la mort de son ami plus âgé, The Door de Magda Szabó raconte une histoire de confiance, d’amour et de déception. Emerence Szeredás a vécu sa vie entourée de mystère. Peu de gens connaissaient les sacrifices qu’elle avait faits pour les autres. Peu de gens ont été autorisés à connaître les détails de sa vie. Personne n’était autorisé à entrer dans sa maison. La seule exception était le narrateur. Elle a eu droit à une visite quand Emerence a révélé ce qu’elle voulait faire de ses affaires à sa mort. Emerence a partagé avec le narrateur qu’elle protégeait neuf chats à l’intérieur de son appartement. Elle a fait confiance au narrateur pour s’occuper des chats à sa mort. Lorsque vient le temps pour la narratrice de tenir sa promesse à Emerence, les choses deviennent horriblement inattendues, laissant la relation endommagée, Emerence blessée et la narratrice déçue d’elle-même.
La narratrice, qui n’est nommée qu’à la fin du roman, a approché Emérence lorsqu’elle avait besoin de quelqu’un pour l’aider dans ses tâches ménagères. Avant même qu’elle ne connaisse Emérence, la narratrice était curieuse des secrets que la vieille dame semblait porter avec elle. Elle voulait une amitié avec Emérence. Pendant des années, alors même que le narrateur travaillait pour elle, Emérence la tenait à bout de bras.
Emerence a commencé à vraiment aimer le narrateur après que le narrateur lui ait tendu la main en signe de sympathie après que la femme qu’Emerence avait sauvée des Allemands nazis alors qu’elle était bébé avait reporté une visite à la dernière minute. Après cela, Emerence a décidé de laisser les meubles qui lui avaient été donnés par les Grossman ainsi que tous ses autres biens au narrateur. Elle a également dit au narrateur qu’elle n’avait laissé personne entrer dans sa maison car elle avait neuf chats vivant avec elle. Elle considérait ces chats comme des membres de sa famille et confia à la narratrice le soin d’en prendre soin une fois morte.
Quand Emérence est tombée malade, sa fin est venue d’une manière bizarre. Elle a attrapé la grippe, qui s’est transformée en pneumonie parce qu’elle refusait de voir un médecin ou de faire une pause dans son travail. Lorsqu’elle est finalement restée à la maison, elle a subi une embolie qui a paralysé sa jambe gauche. Elle n’a informé personne de ce changement dans sa santé. Cependant, ses amis et voisins ont finalement décidé qu’ils devaient appeler quelqu’un pour voir si Emerence avait besoin de soins médicaux. À ce moment-là, on a découvert qu’elle vivait au milieu d’aliments pourris ainsi que de ses propres excréments depuis peut-être des semaines.
Au lieu de rester avec Emerence lorsque la porte de sa maison a été forcée et de s’occuper des chats comme elle l’avait promis, la narratrice s’est enfuie de la maison parce qu’elle se sentait coupable d’avoir trahi son amie en la cajolant pour qu’elle ouvre la porte afin que les sauveteurs d’Emerence puissent obtenir à elle. Au moment où elle est rentrée chez elle, Emérence avait été envoyée pour décontamination par des étrangers et son appartement avait été pénétré par une équipe de décontamination. Dans leur peur, tous les chats s’étaient enfuis. Le narrateur s’est rendu compte à ce moment-là que laisser Emerence seule à ce moment de sa vie était bien pire que sa trahison.
Quelques semaines plus tard, Emerence est décédée à l’hôpital après une deuxième embolie. La relation entre les deux femmes n’a jamais été guérie. Après les funérailles, la narratrice a été accompagnée dans l’appartement d’Emérence par le lieutenant-colonel pour voir la suite de meubles dont elle avait hérité. Emérence avait gardé ce meuble enfermé dans sa pièce de devant. Elle n’était même pas entrée dans cette pièce depuis des années. Bien que le mobilier soit beau, le lieutenant-colonel a tout de suite reconnu qu’il était en ruine. Woodworm y était parvenu. Dès que le bois a été touché, il s’est désintégré. C’était une image de l’inutilité d’essayer d’accumuler des richesses et, peut-être, un signe de la colère d’Émérence contre le narrateur.
L’histoire se termine avec les rôles d’Emerence dans le quartier remplis par d’autres femmes. Adélka, l’amie d’Emerence, prend la direction de l’immeuble qu’Émérence avait autrefois supervisé. La narratrice ne peut pleurer qu’après avoir vu cette femme assise sur le porche d’Emerence, occupée à travailler comme Emerence l’avait toujours été.
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