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The Woman in White de Wilkie Collins, publié en 1860, est un roman de fiction sensationnaliste de l’époque victorienne. Collins pourrait être considéré comme le père des genres modernes du thriller policier et du roman policier. Collins, comme son ami Charles Dickens, utilise le roman pour exposer les injustices sociales de son temps, en particulier le manque de droits légaux accordés aux femmes mariées. Collins présente cette histoire comme si elle tenait un procès dans lequel les personnages présentent leur point de vue sur les événements à travers un récit, des extraits de journal et des témoignages oculaires. L’histoire principale se déroule entre juillet 1849 et août 1852. Une grande partie de l’histoire est racontée à travers le récit de Walter Hartright, un tuteur en art qui tombe amoureux d’une étudiante, Laura Fairlie, qui est fiancée à Sir Percival Glyde. Percival se marie pour l’héritage de Laura, qu’il cherche à obtenir par son consentement écrit ou sa mort. Travailler avec lui sont le comte et la comtesse Fosco.
Un complice involontaire de la chute de Laura est son tuteur inefficace, son oncle Frederick Fairlie. Laura a peu d’alliés, mais ils lui sont farouchement fidèles. Marian Halcombe, sa demi-sœur, et Walter Hartright font face à de formidables chances contre des hommes de pouvoir redoutables pour protéger Laura. Le personnage principal, The Woman in White, est également un allié de Laura et une demi-sœur sosie. Les bonnes personnes finissent par l’emporter avec l’aide de serviteurs décents, d’honnêtes notaires (avocats) et d’un peu de chance.
L’histoire comprend des espions, des sociétés secrètes, le vol d’identité, une erreur d’identité, un meurtre, des naissances illégitimes, un faux emprisonnement et une romance. Collins tisse une histoire passionnante pour prouver un point sur le manque de droits des femmes. Utilisant des femmes des classes supérieures et inférieures, il enfonce le clou avec exemple après exemple d’injustice. Bien qu’il s’agisse d’un argument convaincant raconté sous forme d’histoire, Collins ne tombe pas dans le récit moralisateur. Il raconte une histoire passionnante qui divertit, éclaire et informe.
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