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Le poème « Comptabilité » de Claribel Alegría a été publié pour la première fois en anglais par Curbstone Press en 1993 dans le cadre d’un recueil de poèmes dans son livre, Fugues. Bien qu’il ne fasse que vingt-six vers, le poème est saturé d’une collection d’images autobiographiques aussi diverses que son bonheur d’enfant, jouant dans des flaques d’eau, et son chagrin à la mort de sa mère. Alegría qualifie les vignettes de son poème d’« instants électriques ». Ces instantanés de sa vie ne sont que de brefs instants, mais ils racontent la propre histoire du poète. Le titre « Comptabilité » peut faire référence à la présentation systématique des données qui composent sa vie. C’est ce que font les comptables. Ils examinent les données financières, les répertorient et les interprètent et équilibrent le compte. C’est ce qu’Alegría a fait avec ce poème. Son poème est une élégie qui rend compte de ses souvenirs sur une longue période d’années. Les événements et les personnes mentionnés dans le poème sont représentatifs de plusieurs des lieux dans lesquels elle a vécu, et ainsi ses souvenirs deviennent la source du poème. Quand Alegría a écrit « Comptabilité », elle écrivait de la poésie depuis soixante-deux ans. Ce poème apparaît dans l’un de ses derniers recueils de poésie, et sa publication sert donc également de reflet de sa vie créative.
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