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La version suivante de Harbor Me a été utilisée pour créer ce guide : Woodson, Jacqueline. Abritez-moi. New York : Nancy Paulsen – Penguin Random House, 2018. Relié.
Harbor Me de Jacqueline Woodson est un roman écrit pour un public de niveau moyen mais débordant de précieuses leçons pour les lecteurs de tout âge. Le roman est un récit cadre qui met en scène la narratrice Haley Anderson, une élève de sixième année dans une école de Brooklyn. Elle raconte son histoire personnelle au cours du roman, mais le cadre intérieur présente la vie et les histoires de cinq de ses camarades de classe. L’histoire de Haley commence alors qu’elle est assise dans sa chambre, réfléchissant aux événements de l’année scolaire écoulée. Son oncle est à l’étage et se prépare à quitter la maison maintenant que son père vient de rentrer chez lui. Sa vie avance, mais pour l’instant elle se souvient du passé.
Haley raconte l’histoire de ses cinq camarades de classe qui font tous partie d’une classe spéciale pour les élèves ayant des différences d’apprentissage. Un jour, leur enseignante, Mme Laverne, les a emmenés dans l’ancienne salle d’art et leur a expliqué que pour le reste de l’année, c’était leur espace spécial pour parler tous les vendredis après-midi pendant la dernière heure de la journée scolaire. Aucun adulte ne serait présent et ils pourraient parler de n’importe quoi ou faire n’importe quoi avec le temps. Au début, les enfants pensaient que l’idée était étrange. Ils étaient mal à l’aise les uns avec les autres et ne savaient pas comment passer le temps. Ils surnomment l’endroit la salle ARTT (A Room to Talk).
Puis, après une visite à son père qui était en prison depuis huit ans, Haley a eu l’idée d’enregistrer tout ce dont les enfants parlaient afin qu’ils gardent leurs histoires et leurs pensées comme un souvenir pour que quiconque puisse les entendre. Elle a fait elle-même le premier enregistrement et a raconté une leçon d’histoire de Mme Laverne. Elle avait parlé aux enfants des Indiens Lenape qui avaient autrefois parcouru le pays même où ils se trouvaient maintenant à New York. Puis les colons hollandais sont arrivés et les ont chassés de leurs maisons. Mme Laverne a posé une question aux enfants. S’ils avaient vécu pendant cette période, auraient-ils aidé les Lenape ou pris la terre pour eux-mêmes ? Elle leur a dit de toujours se rappeler que même si le pire arrivait, ils devaient toujours protéger quelqu’un d’autre et être un refuge pour quelqu’un qui en avait besoin.
Le thème d’être un port pour les autres est présent tout au long du roman alors que les enfants partagent leurs histoires de chagrin et de frustration centrées sur les problèmes sociaux d’immigration, de race et d’incarcération. Chaque semaine, les enfants partagent et enregistrent leurs histoires. Esteban partage son inquiétude au sujet de son père qui a été emmené par des agents de l’immigration et placé dans un centre de détention. Amari raconte comment la vie semble parfois changer trop rapidement. Il est en colère parce qu’il est noir, il ne peut plus jouer avec ses pistolets jouets dans le parc, mais son ami blanc, Ashton, est toujours capable de le faire. Ashton a ses propres problèmes raciaux, car pour la première fois de sa vie, il fait partie d’une minorité. En tant que l’un des rares enfants blancs de l’école, il est victime d’intimidation par un groupe de garçons plus âgés et souffre d’agressions physiques dans la cour de l’école. Holly lutte pour être traitée sur un pied d’égalité avec ses amis car elle est quelque peu élevée par des difficultés raciales parce que sa famille est financièrement aisée. Tiago est triste que les gens lui fassent honte d’aimer parler l’espagnol, la belle langue qu’il parle à la maison avec sa famille. Au fur et à mesure que les enfants partagent leurs histoires, ils trouvent du réconfort à être entendus. Ils tissent des liens d’amitié qui traversent les barrières raciales qui existent autrement dans le monde au-delà de la salle ARTT. Pour chacun, la chambre ARTT et les amis à l’intérieur sont le port dont chacun a besoin.
Alors que l’année scolaire touche à sa fin, Haley trouve enfin le courage de raconter sa propre histoire sur l’incarcération de son père et la mort de sa mère. Alors que le roman touche à sa fin, Haley en vient à comprendre que le pardon est l’une des nombreuses façons de fournir un refuge à quelqu’un alors qu’elle apprend à pardonner à son père et à l’accueillir à nouveau dans sa vie.
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