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Galileo de Bertolt Brecht est une courte pièce historique sur le scientifique et astronome Galileo Galilei. Il retrace les dernières années de Galilée, lorsque ses expériences avec des télescopes et le développement de preuves d’un modèle héliocentrique du système solaire ont menacé l’Église, entraînant l’inquisition de Galilée et son éventuelle rétractation de ses découvertes scientifiques.
Galilée d’âge moyen, déjà un scientifique célèbre vivant à Venise, est dans son étude lorsqu’il reçoit un modèle géocentrique de l’univers, le géocentrisme étant la théorie acceptée depuis longtemps sur le cosmos et celle que Galilée sait n’est pas vraie. Galilée montre à Andrea, fils de sa gouvernante, comment la terre tourne autour du soleil même si aux yeux il semble que le soleil se déplace dans le ciel. Ludovico, un étudiant, arrive pour étudier sous Galileo. Il parle à Galilée d’un nouvel appareil, le télescope, qui balaie l’Europe mais qui n’est pas arrivé en Italie. Priuli, un conservateur, arrive pour informer Galileo que l’université n’offrira pas à Galileo les honoraires (argent) dont il a tant besoin; Galileo doit prouver sa valeur en inventant quelque chose d’utile.
Galileo prend l’idée du télescope et le présente comme sa propre invention à la marine vénitienne. Les sénateurs de Venise approuvent tous, et Galileo reçoit ses honoraires après tout grâce au télescope.
Plus tard, à l’aide d’un télescope amélioré, Galileo fait des découvertes sur la lune et la rotation des étoiles. Plus important encore, il remarque que les lunes de Jupiter tournent autour de cette planète. Cela brise le modèle géocentrique de l’univers ; les corps célestes ne sont pas censés orbiter mais rester fixés dans une série de sphères de verre.
A Florence, Galilée et ses théories rencontrent des résistances. Aucun membre de la cour n’osera regarder à travers son télescope. Le tribunal décide de demander l’avis de l’éminent astronome de Rome, Christopher Clavius, sur les preuves héliocentriques de Galilée. À Rome, alors que les membres de l’église ridiculisent Galilée, Clavius émerge et déclare que les preuves de Galilée sont solides.
Galilée est ensuite officiellement mis en garde contre la poursuite de l’astronomie par deux cardinaux, Bellarmin et Barberini. Galileo décide d’abandonner l’astronomie, et huit ans passent. On lui notifie alors que le pape actuel est prêt à mourir, et le cardinal Barberini, moins conservateur et ancien mathématicien, lui succédera comme pape. Pour Galilée, cela signifie une chance de reprendre ses recherches avec moins de menace de la part de l’Église.
Galileo est découvert et le nouveau pape accepte à contrecoeur d’avoir une inquisition pour Galileo. Alors que ses serviteurs l’attendent et espèrent qu’il défiera l’Église au nom de la science, Galilée émerge un homme brisé qui a lâchement accepté de renoncer à ses recherches héliocentriques. Tous sont déçus.
Plusieurs années passent. Galilée est prisonnier de l’Église. Andrea vient lui rendre visite et apprend que Galilée a écrit le dernier de son chef-d’œuvre astronomique, les Discorsi, alors qu’il était assigné à résidence. Andrea fait sortir clandestinement le texte d’Italie, dans l’espoir que les recherches de Galileo auront l’impact profond qu’elles méritent.
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