Nous nous dirigeons vers la planète désertique de Tattooine. Une musique d’ambiance – cette musique pensive de Star Wars – médite en arrière-plan. Il y a Mos Eisley, « le centre légendaire de la racaille et de la méchanceté ».
Il est cuit au soleil et regorge de détails. Les machines se mêlent au sable. Naturellement, le Cartel Hutt est très présent ici. Les images sont en train d’être montées un peu maintenant afin que nous puissions voir les différents angles de Mos Eisley. Nous allons à la cantine et puis en un clin d’œil nous sommes sur un speeder bike d’une certaine sorte, soulevant de la poussière alors que nous filons à toute vitesse dans le désert.
Nous avons atteint notre destination. Nous recherchons un entrepôt – une forteresse, en fait. Kay utilise des jumelles pour explorer les murs avant de s’y rendre. Plan sur Kay saisissant une plate-forme qu’elle vient de repérer avec ses jumelles. Maintenant, elle est accroupie – le langage universel de la furtivité – et saute par-dessus les rochers pour se rapprocher des ennemis inconscients.
Elle envoie sa créature compagnon Nix attaquer, avant d’intervenir avec de solides uppercuts. Elle demande à Nix de scanner la zone avec une sorte de sens extraordinaires. Puis elle frappe un Rhodien au visage. Crocheter une serrure, maintenant, pour voler des informations. Un ennemi entre et nous avons été repérés. Kay tire depuis la hanche mais il y a beaucoup de résistance à l’extérieur. « Nous avons des ennuis, mon pote. » Vous l’êtes certainement.
Une sorte de chien-lézard lui attrape le bras et s’accroche jusqu’à ce qu’elle l’enlève. Elle court et tire avec son pistolet. Il est actif, il a un élan vers l’avant. Maintenant, elle n’est plus là, et nous nous dirigeons vers une cabane dans le noir. C’est le chasseur de primes que nous recherchons, un vieux personnage flétri aux allures de lézard.
Nous leur demandons de nous enseigner, et il semble qu’il y ait un test de confrontation avant qu’ils ne le fassent. Il s’agit essentiellement d’une sorte de quête secondaire, et on nous en promet bien d’autres. Je suis épuisé rien que d’y penser.