Redécouverte du JRPG sur console vieux de 25 ans, dont je considérais autrefois les cinématiques CGI à couper le souffle comme le summum incontestable du graphisme du jeu vidéo

The Legend of Dragoon

Vers la fin de l’année dernière, j’ai écrit sur redécouvrir le RPG console vieux de 33 ans J’ai passé un an à louer chez Blockbuster Video après que celui-ci ait promis (avec optimisme) 300 heures de jeu. En effet, Sword of Vermillion – le jeu de rôle Sega Mega Drive/Genesis de 1992 – m’avait échappé pendant des années simplement parce que je ne me souvenais plus de son nom. J’avais consacré des dizaines d’heures à un jeu qui semblait avoir des années d’avance sur ses concurrents, et pourtant c’est le passage du temps qui lui avait permis de s’échapper de ma mémoire pendant plus de trois décennies.

Je reviens aujourd’hui avec une révélation tout aussi personnelle – mais au lieu de redécouvrir un jeu dont j’avais complètement oublié le titre, je suis ici pour vanter les vertus d’un jeu que j’aimais autrefois mais dont j’avais tout simplement oublié l’existence : The Legend of Dragoon.

Légendaire

(Crédit image : Japan Studio)

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